Une video devenue virale et très partagée sur le Net, fait état de la raison du départ de Zeynab Sankaré de Leral. Un invité de l’émission de DTV a soutenu que c’est sur instruction de ses supérieurs hiérarchiques, consistant à écrire un article sur Ousmane Sonko, que Zeynab a été virée. Ce monsieur évoque le refus d’obtempérer pour justifier son départ du Groupe Leral.
La Direction de Leral, rejetant une accusation, jugée de grave et attentatoire à ses principes, précise que l’ex-coordonnatrice Zeynab Sankaré n’a jamais été nommée Rédactrice en Chef à Leral. Elle était juste, la coordonnatrice des activités de cet organe.
Pis, précise-t-on, Zeynab n’a jamais écrit d’article dans ce support. Seulement, elle faisait des reportages de terrain et présentait des émissions. Point...
L’ex-coordonnatrice de Leral, informée de la révélation, a pris le soin de joindre ce manipulateur très prompt à balancer des contrevérités, pour lui demander si c’est d’elle qu’il a pris l’information de sa révélation.
En revanche, l’homme s’est débiné pour soutenir qu’il n’a jamais tenu des propos similaires dans une émission de télévision. Alors que, dans cette video virale, le monsieur insiste sur ce fait imaginaire, visant à nuire l’opposant Ousmane Sonko, pour justifier une opinion de manière maladroite.
Leral, ayant constaté cette tentative de nuisance et volonté de faire mal, relève que l’ex-coordonnatrice, Zeynab Sankaré se disait, avant son départ, être sous l’emprise de maraboutage dans son lieu de travail. Chaque fois, présente au bureau, elle dit constaté que le bureau est hanté...
D’après sa version, ne pouvant plus supporter, elle a demandé à travailler à distance. Une demande que le Pdg refuse de valider. Puisque, dit-il, le travail pour lequel elle a été engagée, ne peut pas se faire à distance. Il s’agit de la coordination des activités, nécessitant une présence physique et assidue.
Suite à ce refus d’accorder cette possibilité de travailler à distance, Zeynab Sankaré a présenté sa démission pour, dit-elle, convenance personnelle. Rien d’autre...ne s’est passé.
Ailleurs, Zeynab Sankaré a narré une histoire rocabolesque digne d’un scénario de film hollywoodien. Après une émission avec Dame Mbodji, elle disait être traquée par deux jeunes hommes. Ces derniers, disait-elle, l’avait poursuivie jusqu’à Nord-Foire.
Et, elle a dû son salut à son taximan qui avait manoeuvré ferme. Cette histoire lui a valu d’être citée par le Sympics dans sa lettre de dénonciation, des menaces de mort subies par les journalistes dans le cadre du travail. Vrai ou faux, Leral avait pris acte et compati, tout en sachant raison garder... Seule certitude, Leral, refusant d’être berné, n’opère pas avec légéreté.
Conscient de sa mission et de ses objectifs prioritaires, Leral regrette cette tentative de calomnier la gestion d’une structure qui poursuit son bonhomme de chemin.
N’empêche, Leral a tenu à remercier Zeynab Sankaré, démissionnaire de son poste de coordonnatrice pour son dévouement, sa détermination et sa volonté de mieux faire lors de son passage dans la boîte. Leral reconnaît qu’elle a fait montre de beaucoup de rigueur et de loyauté dans son travail.
Pis, précise-t-on, Zeynab n’a jamais écrit d’article dans ce support. Seulement, elle faisait des reportages de terrain et présentait des émissions. Point...
L’ex-coordonnatrice de Leral, informée de la révélation, a pris le soin de joindre ce manipulateur très prompt à balancer des contrevérités, pour lui demander si c’est d’elle qu’il a pris l’information de sa révélation.
En revanche, l’homme s’est débiné pour soutenir qu’il n’a jamais tenu des propos similaires dans une émission de télévision. Alors que, dans cette video virale, le monsieur insiste sur ce fait imaginaire, visant à nuire l’opposant Ousmane Sonko, pour justifier une opinion de manière maladroite.
Leral, ayant constaté cette tentative de nuisance et volonté de faire mal, relève que l’ex-coordonnatrice, Zeynab Sankaré se disait, avant son départ, être sous l’emprise de maraboutage dans son lieu de travail. Chaque fois, présente au bureau, elle dit constaté que le bureau est hanté...
D’après sa version, ne pouvant plus supporter, elle a demandé à travailler à distance. Une demande que le Pdg refuse de valider. Puisque, dit-il, le travail pour lequel elle a été engagée, ne peut pas se faire à distance. Il s’agit de la coordination des activités, nécessitant une présence physique et assidue.
Suite à ce refus d’accorder cette possibilité de travailler à distance, Zeynab Sankaré a présenté sa démission pour, dit-elle, convenance personnelle. Rien d’autre...ne s’est passé.
Ailleurs, Zeynab Sankaré a narré une histoire rocabolesque digne d’un scénario de film hollywoodien. Après une émission avec Dame Mbodji, elle disait être traquée par deux jeunes hommes. Ces derniers, disait-elle, l’avait poursuivie jusqu’à Nord-Foire.
Et, elle a dû son salut à son taximan qui avait manoeuvré ferme. Cette histoire lui a valu d’être citée par le Sympics dans sa lettre de dénonciation, des menaces de mort subies par les journalistes dans le cadre du travail. Vrai ou faux, Leral avait pris acte et compati, tout en sachant raison garder... Seule certitude, Leral, refusant d’être berné, n’opère pas avec légéreté.
Conscient de sa mission et de ses objectifs prioritaires, Leral regrette cette tentative de calomnier la gestion d’une structure qui poursuit son bonhomme de chemin.
N’empêche, Leral a tenu à remercier Zeynab Sankaré, démissionnaire de son poste de coordonnatrice pour son dévouement, sa détermination et sa volonté de mieux faire lors de son passage dans la boîte. Leral reconnaît qu’elle a fait montre de beaucoup de rigueur et de loyauté dans son travail.