« Pendant plus d’une vingtaine d’années, les autorités de ce pays ont, elles-mêmes, confié leurs enfants à ce groupe ; il est irresponsable de leur part de revenir, pour nous dire que cette école doit être fermée, que ce sont des terroristes qui en sont les promoteurs ; cela ne fait pas sérieux », a confié Ndongo Sarr, SG, adjoint du CUSEMS, qui considère cette mesure comme une violation du droit à l’Education.
La secrétaire général de l’UDEN embouche la même trompette. Awa Wade pense que les autorités doivent revoir leur décision. « Nous pensons qu’il est prématuré de fermer une école aussi importante que Yavuz Selim, qui a déjà fait ses preuves. Le Gouvernement doit revoir cette situation pour permettre à ces enfants de continuer leurs études scolaires et rassurer les parents d’élèves », a-t-elle dit.
Après l’étape de la dénonciation, les enseignants n’excluent pas la confrontation pour défendre ce groupe. « Il faudrait que les autorités comprennent que le système éducatif sénégalais est un et indivisible ; si elles pensent que c’est une affaire du Privé, elles se trompent lourdement. Parce que dans cette affaire, nous défendrons le droit de l’Education, donc de ce groupe », a averti, lundi sur Rfm, Ndongo Sarr.
Tous derrière Yavuz Selim, c’est le mot d’ordre des syndicalistes qui entendent se battre pour obliger l’Etat à revenir à de meilleurs sentiments. Pour eux, « l’intérêt de l’école et des élèves doit primer sur tout le reste ».
La secrétaire général de l’UDEN embouche la même trompette. Awa Wade pense que les autorités doivent revoir leur décision. « Nous pensons qu’il est prématuré de fermer une école aussi importante que Yavuz Selim, qui a déjà fait ses preuves. Le Gouvernement doit revoir cette situation pour permettre à ces enfants de continuer leurs études scolaires et rassurer les parents d’élèves », a-t-elle dit.
Après l’étape de la dénonciation, les enseignants n’excluent pas la confrontation pour défendre ce groupe. « Il faudrait que les autorités comprennent que le système éducatif sénégalais est un et indivisible ; si elles pensent que c’est une affaire du Privé, elles se trompent lourdement. Parce que dans cette affaire, nous défendrons le droit de l’Education, donc de ce groupe », a averti, lundi sur Rfm, Ndongo Sarr.
Tous derrière Yavuz Selim, c’est le mot d’ordre des syndicalistes qui entendent se battre pour obliger l’Etat à revenir à de meilleurs sentiments. Pour eux, « l’intérêt de l’école et des élèves doit primer sur tout le reste ».