Après avoir présenté ses condoléances suite aux accidents tragiques survenus ces derniers jours et ayant entrainé de nombreuses pertes en vies humaines. Mame Mbaye Niang a prié pour le repos de leur âme au paradis. Après cette entrée en matière, Mame Mbaye Niang exprime ses pensées à l’endroit du chef de file de Pastef.
« Il est très regrettable mesdames et messieurs, de revenir sur les propos d’un homme incongru qui, s’il avait une once de dignité, éviterait les sorties insignifiantes et demanderait pardon au peuple sénégalais », a-t-il martelé avant d’enchaîner : « Mais hélas, il ne comprend pas que lorsque l’on est au fond du trou, il ne faudrait pas creuser davantage », a-t-il poursuivi. Ensuite, ce fut des questionnements sur la psychologie du leader de Pastef. « Ne sait-il pas, ne voit-il pas, n’entend -il pas combien le monde entier, se plaint désormais de sa figure trompeuse. »
Très en verve, à Mame Mbaye Niang d’étaler les vices de Sonko. « Oui, peu de nous savaient ses vices infâmes et sa concupiscence et, malgré les évidences qui font et refont surfaces aujourd’hui, il peine à l’accepter et continue de verser dans la démagogie », a-t-il indiqué.
D’après Mame Mbaye Niang, Sonko est en contradiction sur l’affaire Adji Sarr. « N’est-ce pas lui qui criait urbi et orbi d’être pressé d’aller au procès occasion pour lui d’étaler le complot absurde qui, présentement, au vu de l’opinion n’existe que dans sa tête », a-t-il raillé. D’après lui, c’est le Karma pour Sonko. « Ironie du sort, aujourd’hui, sachant que le procès se tiendra , il se contredit et se victimise comme à son habitude, demandant à la jeunesse de se dresser pour la non tenue du procès », a-t-il déploré.
D’après lui, Sonko ira au procès de gré ou de force. « Il ira au procès contre Adji Raby Sarr qui fera un récit certes, salace mais vrai de ses nombreuses virées au lupanar sweet beauté spa car étant seul responsable de cette situation, guidé par ses sombres vices », a-t-il argué.
Sur ce, Mame Mbaye Niang conseille Sonko d’aller répondre à la justice pour laver son honneur. « Qu’il soit pour une fois un homme en assumant ses responsabilités et en allant répondre à la justice pour laver son honneur », a-t-il conseillé.
La parenthèse de l’affaire Sweet beauté close, Mame Mbaye Niang ouvre celle qui l’oppose à Sonko dans le cadre l’affaire Prodac. « Retiens bien Ousmane, le 02 février, cette date que tu redoutes tant, car incapable de produire un rapport fictif que tu es le seul à détenir, j’ose espérer que tu ne te déroberas pas cette fois ci, comme à ton habitude », a-t-il prévenu avant d’ajouter : « Oui, le procès pour propos diffamatoires et mensongers à mon encontre, un sujet que tu feins d’évoquer dans tes sorties, aura bien lieu », a-t-il rappelé.
Continuant ses diatribes, il sert une multitude de questions au patron de Pastef. « De quoi as-tu peur ? ne détiens-tu plus tous les documents ? N’es-tu plus l’homme le plus informé du pays? Pourquoi te caches tu des huissiers de justice? »,s’interroge-t-il .
Ensuite, Mame Mbaye Niang annonce à Sonko que le pays ne sera pas déstabilisé quelque soit l’issue des procès. « Qu’il soit rassuré, avant, pendant et après ces procès et quels qu’en soient les verdicts et les conséquences dans ses sombres ambitions politiques, le Sénégal restera entier et personne ne pourra déstabiliser notre pays, surtout un homme, qui après avoir assouvi ses viles pulsions appelle le Sénégal à être son bouclier », a-t-il promis.
Enfin, Mame Mbaye Niang révèle que les événements de mars ne peuvent se reproduire. « Si les événements regrettables de mars 2021 dont il se vante sans honte d’être l’instigateur, semblent lui procurer, lui et ses sbires, une immunité et leur garantir une impunité de leurs dérives, alors ils peuvent déchanter. »
Dans la foulée, Mame Mbaye Niang lance un appel à la jeunesse, à la diaspora et au peuple.
« J’appelle solennellement la jeunesse, la diaspora et le peuple sénégalais à ne pas être actionnaire de cette entreprise maléfique et diabolique de destruction de notre pays hérité de nos valeureux ancêtres », a-t-il affirmé.
D’après lui « ses tentatives d’actes insurrectionnels seront encore étouffées. Et les ennemis de la République qui voudront lui prêter mains fortes en prendront pour leur compte », a-t-il conclu.
« Il est très regrettable mesdames et messieurs, de revenir sur les propos d’un homme incongru qui, s’il avait une once de dignité, éviterait les sorties insignifiantes et demanderait pardon au peuple sénégalais », a-t-il martelé avant d’enchaîner : « Mais hélas, il ne comprend pas que lorsque l’on est au fond du trou, il ne faudrait pas creuser davantage », a-t-il poursuivi. Ensuite, ce fut des questionnements sur la psychologie du leader de Pastef. « Ne sait-il pas, ne voit-il pas, n’entend -il pas combien le monde entier, se plaint désormais de sa figure trompeuse. »
Très en verve, à Mame Mbaye Niang d’étaler les vices de Sonko. « Oui, peu de nous savaient ses vices infâmes et sa concupiscence et, malgré les évidences qui font et refont surfaces aujourd’hui, il peine à l’accepter et continue de verser dans la démagogie », a-t-il indiqué.
D’après Mame Mbaye Niang, Sonko est en contradiction sur l’affaire Adji Sarr. « N’est-ce pas lui qui criait urbi et orbi d’être pressé d’aller au procès occasion pour lui d’étaler le complot absurde qui, présentement, au vu de l’opinion n’existe que dans sa tête », a-t-il raillé. D’après lui, c’est le Karma pour Sonko. « Ironie du sort, aujourd’hui, sachant que le procès se tiendra , il se contredit et se victimise comme à son habitude, demandant à la jeunesse de se dresser pour la non tenue du procès », a-t-il déploré.
D’après lui, Sonko ira au procès de gré ou de force. « Il ira au procès contre Adji Raby Sarr qui fera un récit certes, salace mais vrai de ses nombreuses virées au lupanar sweet beauté spa car étant seul responsable de cette situation, guidé par ses sombres vices », a-t-il argué.
Sur ce, Mame Mbaye Niang conseille Sonko d’aller répondre à la justice pour laver son honneur. « Qu’il soit pour une fois un homme en assumant ses responsabilités et en allant répondre à la justice pour laver son honneur », a-t-il conseillé.
La parenthèse de l’affaire Sweet beauté close, Mame Mbaye Niang ouvre celle qui l’oppose à Sonko dans le cadre l’affaire Prodac. « Retiens bien Ousmane, le 02 février, cette date que tu redoutes tant, car incapable de produire un rapport fictif que tu es le seul à détenir, j’ose espérer que tu ne te déroberas pas cette fois ci, comme à ton habitude », a-t-il prévenu avant d’ajouter : « Oui, le procès pour propos diffamatoires et mensongers à mon encontre, un sujet que tu feins d’évoquer dans tes sorties, aura bien lieu », a-t-il rappelé.
Continuant ses diatribes, il sert une multitude de questions au patron de Pastef. « De quoi as-tu peur ? ne détiens-tu plus tous les documents ? N’es-tu plus l’homme le plus informé du pays? Pourquoi te caches tu des huissiers de justice? »,s’interroge-t-il .
Ensuite, Mame Mbaye Niang annonce à Sonko que le pays ne sera pas déstabilisé quelque soit l’issue des procès. « Qu’il soit rassuré, avant, pendant et après ces procès et quels qu’en soient les verdicts et les conséquences dans ses sombres ambitions politiques, le Sénégal restera entier et personne ne pourra déstabiliser notre pays, surtout un homme, qui après avoir assouvi ses viles pulsions appelle le Sénégal à être son bouclier », a-t-il promis.
Enfin, Mame Mbaye Niang révèle que les événements de mars ne peuvent se reproduire. « Si les événements regrettables de mars 2021 dont il se vante sans honte d’être l’instigateur, semblent lui procurer, lui et ses sbires, une immunité et leur garantir une impunité de leurs dérives, alors ils peuvent déchanter. »
Dans la foulée, Mame Mbaye Niang lance un appel à la jeunesse, à la diaspora et au peuple.
« J’appelle solennellement la jeunesse, la diaspora et le peuple sénégalais à ne pas être actionnaire de cette entreprise maléfique et diabolique de destruction de notre pays hérité de nos valeureux ancêtres », a-t-il affirmé.
D’après lui « ses tentatives d’actes insurrectionnels seront encore étouffées. Et les ennemis de la République qui voudront lui prêter mains fortes en prendront pour leur compte », a-t-il conclu.