Après la notification de la clôture de l’instruction dans l’affaire Sweet Beauté, le procureur a finalement fait son réquisitoire. Il veut que l'affaire soit renvoyé en procès.
Au terme de l’instruction dans l’affaire "Sweet Beauté", le procureur de la République a fait un réquisitoire définitif de mise en accusation sur tous les chefs de prévention visés par le Parquet depuis le début de l’affaire, à savoir le viol et les menaces.
Pour le ministère public, donc, toutes les charges sont réunies pour que le juge renvoie les parties devant une juridiction de jugement, informe «Les Echos».
Cependant, le réquisitoire définitif du Parquet aux fins de mise en accusation, ne signifie pas que le juge va aveuglément suivre le ministère public et renvoyer les parties. Oumar Maham Diallo, dans la rigueur des textes, est libre de ne pas suivre le Parquet.
Le Parquet a donc rejoint la partie civile dans sa volonté d'obtenir le renvoi de l'affaire. Car, même si les conseils de Adji Sarr n'avaient pas jugé utile de faire des observations, ils avaient laissé entendre que le juge ne peut que renvoyer le dossier en jugement.
Ce, contrairement à l'avis des conseils de Ndèye Khady Ndiaye, qui s'étaient abstenus de faire des observations, convaincus qu'il n'y avait rien qui pouvait conduire à un renvoi. Ce point de vue a été le même que celui des avocats d'Ousmane Sonko, qui ont réclamé un non-lieu.
Au terme de l’instruction dans l’affaire "Sweet Beauté", le procureur de la République a fait un réquisitoire définitif de mise en accusation sur tous les chefs de prévention visés par le Parquet depuis le début de l’affaire, à savoir le viol et les menaces.
Pour le ministère public, donc, toutes les charges sont réunies pour que le juge renvoie les parties devant une juridiction de jugement, informe «Les Echos».
Cependant, le réquisitoire définitif du Parquet aux fins de mise en accusation, ne signifie pas que le juge va aveuglément suivre le ministère public et renvoyer les parties. Oumar Maham Diallo, dans la rigueur des textes, est libre de ne pas suivre le Parquet.
Le Parquet a donc rejoint la partie civile dans sa volonté d'obtenir le renvoi de l'affaire. Car, même si les conseils de Adji Sarr n'avaient pas jugé utile de faire des observations, ils avaient laissé entendre que le juge ne peut que renvoyer le dossier en jugement.
Ce, contrairement à l'avis des conseils de Ndèye Khady Ndiaye, qui s'étaient abstenus de faire des observations, convaincus qu'il n'y avait rien qui pouvait conduire à un renvoi. Ce point de vue a été le même que celui des avocats d'Ousmane Sonko, qui ont réclamé un non-lieu.