Les tiraillements sur le bien d'autrui sont très fréquents au Sénégal. Certains se moquent du droit pour amuser la galerie dans l'optique de manipuler l'opinion publique. Ils n'hésitent pas à user de subterfuges pour donner un semblant du droit, comme en atteste le terrain de 500 mètres carrés situé géographiquement sur le littoral vers les Almadies dans la capitale sénégalaise. Ce terrain, faisant l'objet d'un empiétement injustifié, est source de bras de fer entre le propriétaire de Surfer Paradise, El Hadji Oumar Sèye, et Mouhamadou Mbengue. Ledit terrain est à son nom depuis 2007 (Mandat de Wade).
Inconscient ou facile à manipuler, le « collectif Ngor debout », qui semble être pour la cause du propriétaire de Surfer Paradise, El Hadji Oumar Sèye, a fait face à la presse ce lundi 04 décembre pour dénoncer un éventuel acharnement sur le site. Et, le bailleur de ce complexe affirme et signe qu'il a tous les papiers pour justifier son entêtement à occuper l'espace réclamé par M. Mbengue Mouhamadou. Cependant, ceux qui attendaient des preuves pour comprendre sur quoi se base M. Mbengue Mouhamadou pour revendiquer la propriété de ces terres peuvent apprécier eux-mêmes.
Ainsi, Leral a rencontré le fils aîné de M. Mbengue Mouhamadou, B.M, pointé du doigt pour se faire une idée. Le fils de ce haut cadre de l'armée, titulaire du foncier, recadre bien le protestataire, tout en précisant que "Togne Baxoul". Ce dernier, tenant à clarifier les choses, a apporté suffisamment de preuves justificatives. Il a aussitôt sorti un lot de papiers de son cartable noir pour démontrer la véracité de sa réclamation. Et, il souligne que le Sieur Sèye veut utiliser l'opinion publique pour des choses qui n'en valent pas la peine.
Le fils de Mohamed Mbengue a montré le titre de propriété du site n°20, attribué exactement le 26 Juillet 2007, puis, le permis d'occuper déjà signé en 2011. Un autre papier, celui-ci, est un arrêté ministériel daté en février 2022 qui stipule que le foncier est au nom de M.M. (le nom de mon père). D'après lui, M. Sèye, propriétaire du complexe, s'est servi de leur terrain pour installer depuis longtemps un parking. Pire, il commence même à construire, ce qui, regrette-t-il, n'est pas normal. « Il doit se limiter au lot n°22 en le montrant sur le papier qu'il a. En janvier, j'ai saisi la DSCOS qui lui a signifié d'arrêter les constructions. La Direction de la Surveillance et du Contrôle de l'Occupation du Sol (DSCOS) affirme que le permis d'occupation du propriétaire du Complexe n'est pas valide », renseigne-t-il.
Seulement, les autorités doivent agir pour trancher vite et bien, avant qu'il ne soit trop tard. Elle devra donner à qui de droit ses terres pour taire toutes sortes d'agitation. Puisque le collectif « Ngor debout », embarqué dans un combat qui n’est pas le sien, menace de ne pas céder. Ledit collectif, constate-t-il, est gravement manipulé dans cette affaire.
D'un côté comme de l'autre, des procédures sont entamées et le combat foncier est engagé. Alors le principal concerné, c’est-à -dire M. Mbengue Mouhamadou, accusé à tort, dit mettre en avant la vérité. Il déclare sur l'honneur fournir la bonne information, concernant l'affaire du site "Surfer Paradise", dont le propriétaire de ce complexe diffuse des mensonges. Avec des documents authentiques, il exhorte à respecter les lois et règlements du pays pour éviter fortuitement, la calomnie à des personnes très responsables.
À titre de rappel, M. Mbengue Mouhamadou précise bien que le terrain, dont l'attestation du titre est obtenue en 2011, lui a été attribué sous Abdoulaye Wade depuis 2007. Une tentative de sécurisation du terrain en 2011 a été suspendue, en raison de l'instrumentalisation des jeunes de Yoff avec la complicité de responsables de la Mairie de l'époque. D’après lui, de multiples actes sont posés sur son terrain par le propriétaire du Complexe sans qu'il ne réagisse. Mais, il retient qu'il y a des soucis à se faire après le tapage médiatique du sieur Sèye, de ce lundi. Cette fois, se plaint-il, il y a nécessité de faire respecter la justice et la légalité.
Inconscient ou facile à manipuler, le « collectif Ngor debout », qui semble être pour la cause du propriétaire de Surfer Paradise, El Hadji Oumar Sèye, a fait face à la presse ce lundi 04 décembre pour dénoncer un éventuel acharnement sur le site. Et, le bailleur de ce complexe affirme et signe qu'il a tous les papiers pour justifier son entêtement à occuper l'espace réclamé par M. Mbengue Mouhamadou. Cependant, ceux qui attendaient des preuves pour comprendre sur quoi se base M. Mbengue Mouhamadou pour revendiquer la propriété de ces terres peuvent apprécier eux-mêmes.
Ainsi, Leral a rencontré le fils aîné de M. Mbengue Mouhamadou, B.M, pointé du doigt pour se faire une idée. Le fils de ce haut cadre de l'armée, titulaire du foncier, recadre bien le protestataire, tout en précisant que "Togne Baxoul". Ce dernier, tenant à clarifier les choses, a apporté suffisamment de preuves justificatives. Il a aussitôt sorti un lot de papiers de son cartable noir pour démontrer la véracité de sa réclamation. Et, il souligne que le Sieur Sèye veut utiliser l'opinion publique pour des choses qui n'en valent pas la peine.
Le fils de Mohamed Mbengue a montré le titre de propriété du site n°20, attribué exactement le 26 Juillet 2007, puis, le permis d'occuper déjà signé en 2011. Un autre papier, celui-ci, est un arrêté ministériel daté en février 2022 qui stipule que le foncier est au nom de M.M. (le nom de mon père). D'après lui, M. Sèye, propriétaire du complexe, s'est servi de leur terrain pour installer depuis longtemps un parking. Pire, il commence même à construire, ce qui, regrette-t-il, n'est pas normal. « Il doit se limiter au lot n°22 en le montrant sur le papier qu'il a. En janvier, j'ai saisi la DSCOS qui lui a signifié d'arrêter les constructions. La Direction de la Surveillance et du Contrôle de l'Occupation du Sol (DSCOS) affirme que le permis d'occupation du propriétaire du Complexe n'est pas valide », renseigne-t-il.
Seulement, les autorités doivent agir pour trancher vite et bien, avant qu'il ne soit trop tard. Elle devra donner à qui de droit ses terres pour taire toutes sortes d'agitation. Puisque le collectif « Ngor debout », embarqué dans un combat qui n’est pas le sien, menace de ne pas céder. Ledit collectif, constate-t-il, est gravement manipulé dans cette affaire.
D'un côté comme de l'autre, des procédures sont entamées et le combat foncier est engagé. Alors le principal concerné, c’est-à -dire M. Mbengue Mouhamadou, accusé à tort, dit mettre en avant la vérité. Il déclare sur l'honneur fournir la bonne information, concernant l'affaire du site "Surfer Paradise", dont le propriétaire de ce complexe diffuse des mensonges. Avec des documents authentiques, il exhorte à respecter les lois et règlements du pays pour éviter fortuitement, la calomnie à des personnes très responsables.
À titre de rappel, M. Mbengue Mouhamadou précise bien que le terrain, dont l'attestation du titre est obtenue en 2011, lui a été attribué sous Abdoulaye Wade depuis 2007. Une tentative de sécurisation du terrain en 2011 a été suspendue, en raison de l'instrumentalisation des jeunes de Yoff avec la complicité de responsables de la Mairie de l'époque. D’après lui, de multiples actes sont posés sur son terrain par le propriétaire du Complexe sans qu'il ne réagisse. Mais, il retient qu'il y a des soucis à se faire après le tapage médiatique du sieur Sèye, de ce lundi. Cette fois, se plaint-il, il y a nécessité de faire respecter la justice et la légalité.