C’est “une information” reprise par toute la toile qui a été livrée, ce matin, par nos confrères du journal "Le Quotidien", appartenant à Madiambal Diagne. A l’en croire, “des policiers comme des gendarmes soupçonnés d’être des pro Sonko, auraient été arrêtés et livrés à la brigade prévôtale de la gendarmerie.”
Se voulant plus explicite, nos confrères ont laissé croire que “ces personnes seraient soupçonnées d'avoir livré des informations sensibles au camp de Ousmane Sonko”, des informations qui ont trait au contenu au dossier Adji Raby Sarr. “Si certains sont arrêtés, d’autres ont été libérés et mis sous contrôle judiciaire”, ont rapporté nos confrères, sans préciser à quel service ils appartiennent. Ni révéler leurs identités.
Si à Kewoulo nous ne savons pas, pour le moment, l’objectif recherché par ceux qui ont fait fuiter ces informations, nous sommes en mesure de dire qu’au moment où ces lignes sont écrites, aucun policier ni gendarme n’a été arrêté, soupçonné de collusion avec le suspect Ousmane Sonko. Si de discrètes enquêtes sont ouvertes par tous les services pour prévenir de probables troubles à l’ordre public, troubles qui pourraient naître du projet impopulaire d’arrêter Ousmane Sonko, la police comme la gendarmerie ont nié véhément avoir procédé à la moindre arrestation dans leurs rangs.
Toutefois, de sources dignes de foi, Kewoulo a appris que les services de renseignement sont très remontés contre les pro Sonko, qu’ils soupçonnent détenir un matériel top secret appartenant à l’Etat. En effet, lors de la dernière conférence de presse tenue au domicile de Ousmane Sonko, une altercation avait opposé des agents secrets
à des militants de Pastef. “Une voiture, en sous-marin, contenant du matériel d’écoute avait été attaquée par des pro Sonko. Et dans l’attaque, des gens non encore identifiés ont emporté avec eux un ordinateur contenant des informations “top secrètes” appartenant au services de renseignements. L’un des objectif de nos services est de retrouver ce matériel volé dans le fourgon”, a dit à Kewoulo, une source policière.
Et pour cela, ils sont prêts à remuer ciel et terre. Ce que ne dit pas notre source policière, c’est que cet ordinateur contient des logiciels espions qui permettent d’écouter et d’enregistrer, clandestinement, les conversations téléphoniques des citoyens. A en croire certaines sources du milieu du renseignement, spécialisées en cyber-espionnage, “ce genre de matériels sert aussi à brouiller les signaux, pour perturber les conversations téléphoniques, tout en permettant les écoutes".
Se voulant plus explicite, nos confrères ont laissé croire que “ces personnes seraient soupçonnées d'avoir livré des informations sensibles au camp de Ousmane Sonko”, des informations qui ont trait au contenu au dossier Adji Raby Sarr. “Si certains sont arrêtés, d’autres ont été libérés et mis sous contrôle judiciaire”, ont rapporté nos confrères, sans préciser à quel service ils appartiennent. Ni révéler leurs identités.
Si à Kewoulo nous ne savons pas, pour le moment, l’objectif recherché par ceux qui ont fait fuiter ces informations, nous sommes en mesure de dire qu’au moment où ces lignes sont écrites, aucun policier ni gendarme n’a été arrêté, soupçonné de collusion avec le suspect Ousmane Sonko. Si de discrètes enquêtes sont ouvertes par tous les services pour prévenir de probables troubles à l’ordre public, troubles qui pourraient naître du projet impopulaire d’arrêter Ousmane Sonko, la police comme la gendarmerie ont nié véhément avoir procédé à la moindre arrestation dans leurs rangs.
Toutefois, de sources dignes de foi, Kewoulo a appris que les services de renseignement sont très remontés contre les pro Sonko, qu’ils soupçonnent détenir un matériel top secret appartenant à l’Etat. En effet, lors de la dernière conférence de presse tenue au domicile de Ousmane Sonko, une altercation avait opposé des agents secrets
à des militants de Pastef. “Une voiture, en sous-marin, contenant du matériel d’écoute avait été attaquée par des pro Sonko. Et dans l’attaque, des gens non encore identifiés ont emporté avec eux un ordinateur contenant des informations “top secrètes” appartenant au services de renseignements. L’un des objectif de nos services est de retrouver ce matériel volé dans le fourgon”, a dit à Kewoulo, une source policière.
Et pour cela, ils sont prêts à remuer ciel et terre. Ce que ne dit pas notre source policière, c’est que cet ordinateur contient des logiciels espions qui permettent d’écouter et d’enregistrer, clandestinement, les conversations téléphoniques des citoyens. A en croire certaines sources du milieu du renseignement, spécialisées en cyber-espionnage, “ce genre de matériels sert aussi à brouiller les signaux, pour perturber les conversations téléphoniques, tout en permettant les écoutes".