Selon le journal Les Echos, Landing G. a touché le fond. En service à Kolda, l’agent du Groupement mobile d’intervention (Gmi) a été envoyé en prison. Après un retour de parquet, il a été présenté à nouveau devant l’autorité judiciaire, qui a décerné un mandat de dépôt au policier. Son incarcération est liée au décès aux causes troubles du jeune Pape Coulibaly. Une information judiciaire a été ouverte.
Le glaive de la justice s’est abattu sur la tête de l’agent du Groupement mobile d’intervention (Gmi), qui a été cité dans l’affaire du nommé Oumar Coulibaly, alias Pape Coulibaly, battu à mort. Avant d’être placé sous mandat de dépôt, le policier a été auparavant soumis à l’exercice fatidique de questions-réponses par les enquêteurs. Un face-à -face qui a tourné autour de l’attitude de l’agent après son audition sur procès-verbal devant ses collègues du commissariat d’arrondissement de Yeumbeul Nord. Lorsque l’élément du Gmi a été entendu et libéré, il aurait aussitôt téléphoné, à sa sortie des locaux du commissariat d’arrondissement, au recherché indicateur surnommé Kalz. Les deux hommes auraient échangé au bout du fil pendant quelques minutes.
« Après son audition sur Pv au commissariat, il (l’agent) a appelé au téléphone Kalz pour lui demander de disparaître dans la nature et de se débarrasser de tous ses téléphones portables et de ses puces, afin d’éviter d’être géolocalisé », indiquent nos contacts. D’ajouter : « L’appel téléphonique a été révélé par les résultats des réquisitions, qui ont été adressées à la Sonatel. D’où son placement sous mandat de dépôt. »
Autant d’indices qui ont précipité l’incarcération de l’élément de police du Gmi. Le mis en cause serait poursuivi pour « association de malfaiteurs, complicité de meurtre et tentative d’extorsion de fonds présumés ». Pour rappel, l’agent a été cité à tort ou à raison dans l’affaire du jeune Oumar Coulibaly, dit Pape Coulibaly, qui aurait été kidnappé, embarqué de force, puis battu à mort. Le policier en question aurait agi de la sorte avec le nommé Kalidou T, alias Kalz, indicateur, qui est toujours recherché. Les deux hommes auraient prétexté une « fouille corporelle de routine » contre Coulibaly, qui raccompagnait sa petite-amie. Une information judiciaire a été ouverte.
Senenews
Le glaive de la justice s’est abattu sur la tête de l’agent du Groupement mobile d’intervention (Gmi), qui a été cité dans l’affaire du nommé Oumar Coulibaly, alias Pape Coulibaly, battu à mort. Avant d’être placé sous mandat de dépôt, le policier a été auparavant soumis à l’exercice fatidique de questions-réponses par les enquêteurs. Un face-à -face qui a tourné autour de l’attitude de l’agent après son audition sur procès-verbal devant ses collègues du commissariat d’arrondissement de Yeumbeul Nord. Lorsque l’élément du Gmi a été entendu et libéré, il aurait aussitôt téléphoné, à sa sortie des locaux du commissariat d’arrondissement, au recherché indicateur surnommé Kalz. Les deux hommes auraient échangé au bout du fil pendant quelques minutes.
« Après son audition sur Pv au commissariat, il (l’agent) a appelé au téléphone Kalz pour lui demander de disparaître dans la nature et de se débarrasser de tous ses téléphones portables et de ses puces, afin d’éviter d’être géolocalisé », indiquent nos contacts. D’ajouter : « L’appel téléphonique a été révélé par les résultats des réquisitions, qui ont été adressées à la Sonatel. D’où son placement sous mandat de dépôt. »
Autant d’indices qui ont précipité l’incarcération de l’élément de police du Gmi. Le mis en cause serait poursuivi pour « association de malfaiteurs, complicité de meurtre et tentative d’extorsion de fonds présumés ». Pour rappel, l’agent a été cité à tort ou à raison dans l’affaire du jeune Oumar Coulibaly, dit Pape Coulibaly, qui aurait été kidnappé, embarqué de force, puis battu à mort. Le policier en question aurait agi de la sorte avec le nommé Kalidou T, alias Kalz, indicateur, qui est toujours recherché. Les deux hommes auraient prétexté une « fouille corporelle de routine » contre Coulibaly, qui raccompagnait sa petite-amie. Une information judiciaire a été ouverte.
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