Dans un communiqué parvenu à Leral, l’UMS retraçant les faits du 22 février 2024, dit « alors que le juge d'instruction du 2 cabinet du Tribunal de Grande Instance Hors classe de Dakar procédait à l'inculpation d'un greffier visé par un mandat d'arrêt international exécuté, des faits inédits se sont produits.
Dans son bureau et le long du couloir, des greffiers se sont permis de se rassembler, de prononcer des insanités à l'endroit des magistrats de façon générale ainsi que des propos outrageants contre le juge dudit cabinet sur lequel ils ont exercé une pression inouïe ».
Le document ajoute qu’à la suite « de cette impardonnable forfaiture, certains d'entre eux ont fait irruption dans la salle d'audience des flagrants délits pour interrompre le cours des audiences sans égard pour les justiciables. Il a fallu l'intervention de la gendarmerie pour les évacuer afin de permettre la reprise du jugement des affaires inscrites au rôle. Parallèlement, et par voie de presse, ils ont cru devoir s'attaquer à nouveau au collègue qui n'a fait que remplir les devoirs de sa charge. »
L'UMS condamne sans concession aucune ces agissements émanant d'acteurs judiciaires et collaborateurs de surcroit des magistrats qui ne sauraient rester sans conséquence au vu de leur gravité.
Elle affirme sa solidarité agissante à l'endroit du collègue visé et rappelle que nul n'est au dessus des lois, pas même les acteurs de la justice et exhorte ces derniers à faire preuve de retenue et de professionnalisme en exerçant les voies de recours prévues par la loi.
Dans son bureau et le long du couloir, des greffiers se sont permis de se rassembler, de prononcer des insanités à l'endroit des magistrats de façon générale ainsi que des propos outrageants contre le juge dudit cabinet sur lequel ils ont exercé une pression inouïe ».
Le document ajoute qu’à la suite « de cette impardonnable forfaiture, certains d'entre eux ont fait irruption dans la salle d'audience des flagrants délits pour interrompre le cours des audiences sans égard pour les justiciables. Il a fallu l'intervention de la gendarmerie pour les évacuer afin de permettre la reprise du jugement des affaires inscrites au rôle. Parallèlement, et par voie de presse, ils ont cru devoir s'attaquer à nouveau au collègue qui n'a fait que remplir les devoirs de sa charge. »
L'UMS condamne sans concession aucune ces agissements émanant d'acteurs judiciaires et collaborateurs de surcroit des magistrats qui ne sauraient rester sans conséquence au vu de leur gravité.
Elle affirme sa solidarité agissante à l'endroit du collègue visé et rappelle que nul n'est au dessus des lois, pas même les acteurs de la justice et exhorte ces derniers à faire preuve de retenue et de professionnalisme en exerçant les voies de recours prévues par la loi.