Barthélémy Dias fera encore face au juge de la Cour d’appel. Sauf renvoi, le nouveau maire de Dakar sera jugé après-demain mercredi 21 septembre 2022.
Le maire de Dakar, Barthélémy Dias, devrait être édifié, mercredi prochain, dans l’affaire Ndiaga Diouf. La Cour d’appel, qui avait ouvert ce dossier le 18 mai dernier, l’avait renvoyé au 21 septembre.
En première instance, le leader politique socialiste encourait une peine de 10 ans de prison ferme. C’est ce que le parquet avait retenu contre lui. Mais, finalement le juge lui avait infligé une peine de 6 mois de prison ferme.
En effet, Barthélémy Dias et ses coaccusés ont été poursuivis pour coups mortels, rassemblement illicite, détention d’arme sans autorisation administrative, coups et blessures volontaires, menaces de mort. Les faits remontent à décembre 2011.
Ndiaga Diouf a été tué et trois autres personnes blessées suite à l’attaque des locaux de la mairie de Sicap-Mermoz par des nervis, au cours de laquelle il y a eu des échanges de tirs.
À l’époque, Barthélémy Dias avait déclaré : « J’ai tiré deux coups de sommation. Ils étaient trop nombreux. J’ai ouvert le feu sur la foule. Ils étaient armés et nous nous sommes battus pendant une demi-heure. Et effectivement, si je ne me trompe pas, deux ou trois personnes sont tombées. »
senenews
Le maire de Dakar, Barthélémy Dias, devrait être édifié, mercredi prochain, dans l’affaire Ndiaga Diouf. La Cour d’appel, qui avait ouvert ce dossier le 18 mai dernier, l’avait renvoyé au 21 septembre.
En première instance, le leader politique socialiste encourait une peine de 10 ans de prison ferme. C’est ce que le parquet avait retenu contre lui. Mais, finalement le juge lui avait infligé une peine de 6 mois de prison ferme.
En effet, Barthélémy Dias et ses coaccusés ont été poursuivis pour coups mortels, rassemblement illicite, détention d’arme sans autorisation administrative, coups et blessures volontaires, menaces de mort. Les faits remontent à décembre 2011.
Ndiaga Diouf a été tué et trois autres personnes blessées suite à l’attaque des locaux de la mairie de Sicap-Mermoz par des nervis, au cours de laquelle il y a eu des échanges de tirs.
À l’époque, Barthélémy Dias avait déclaré : « J’ai tiré deux coups de sommation. Ils étaient trop nombreux. J’ai ouvert le feu sur la foule. Ils étaient armés et nous nous sommes battus pendant une demi-heure. Et effectivement, si je ne me trompe pas, deux ou trois personnes sont tombées. »
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