L'histoire secrète d'un traque à rebondissement. Selon Libération, les révélations du Général Cheikh Guèye sur les intentions de Makhtar Diokhané et ses accointances avec le cancer Boko Haram sont une douloureuse réalité. Depuis l'arrestation de ce dernier au Niger, explique le journal, les forces de sécurité sénégalaises ont multiplié les coups de filet qui tendent à attester que celui qui se présente comme un enseignant en arabe était en réalité un ambassadeur de l'organisation terroriste.
Ainsi, les déclarations u chef d'Etat-major général des armées qui a affirmé qu'un certain Diokhané avait tenté d'installer une cellule de Boko-Haram au Sénégal, après avoir subi une formation, font froid dans le dos. Et pourtant relève Libération, le Général Cheikh Guèye a bien raison , car depuis plusieurs mois maintenant, la vigilance et la perspicacité des forces de Police et de Gendarmerie ont permis de mettre la main sur plusieurs personnes supposées appartenir à l'organisation terroriste.
Et toutes ces personnes gravitent autour de Makhtar Diokhané. Dans cette guerre secrète, renseigne Libération, les services de sécurité peuvent compter sur l'appui des plus hautes autorités du pays dont le dernier acte a été de faire voter à l'Assemblée Nationale, il y a de cela 48 heures, une loi qui va rendre plus efficaces les services secrets qui dans l'ombre font face à ce fléau qu'est le terrorisme.
Source libération
Ainsi, les déclarations u chef d'Etat-major général des armées qui a affirmé qu'un certain Diokhané avait tenté d'installer une cellule de Boko-Haram au Sénégal, après avoir subi une formation, font froid dans le dos. Et pourtant relève Libération, le Général Cheikh Guèye a bien raison , car depuis plusieurs mois maintenant, la vigilance et la perspicacité des forces de Police et de Gendarmerie ont permis de mettre la main sur plusieurs personnes supposées appartenir à l'organisation terroriste.
Et toutes ces personnes gravitent autour de Makhtar Diokhané. Dans cette guerre secrète, renseigne Libération, les services de sécurité peuvent compter sur l'appui des plus hautes autorités du pays dont le dernier acte a été de faire voter à l'Assemblée Nationale, il y a de cela 48 heures, une loi qui va rendre plus efficaces les services secrets qui dans l'ombre font face à ce fléau qu'est le terrorisme.
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