L'ancien sénateur de Californie soutient être "troublé par ce qui se passe au Sénégal qui était autrefois le pilier de la démocratie en Afrique". "Lorsque Me Abdoulaye Wade a été démocratiquement élu en tant que Président du Sénégal en 2000, cela a été un grand pas en avant pour la démocratie en Afrique. Me Wade a adopté une nouvelle Constitution et a institué des limites de durée pour la première fois dans l'histoire du Sénégal", a-t-il dit avant de rappeler qu'après l'élection du Président Macky Sall à la Magistrature suprême, "les Etats-Unis et la communauté internationale feront un grand éloge à Wade pour sa rapide concession et la transition pacifique du pouvoir". Mais déplore-t-il : "M. Sall au pouvoir a affirmé son attachement à la démocratie en annonçant la réduction du mandat de sept à cinq ans. Mais, au cours des dernières années, beaucoup de choses ont changé et nous assistons à un retour en arrière dans ce pays connu pour sa brillante histoire et ses succès démocratiques en Afrique".
Prenant fait et cause pour Wade-fils, M. Dellums dira : "Lorsque le parti d'opposition, le Parti démocratique sénégalais, a désigné le fils de l'ancien Président Abdoulaye Wade, l'ancien ministre Karim Wade, comme son candidat pour la prochaine élection présidentielle, il était déjà en prison à la suite d'une décision prononcée par une juridiction qui a été ressuscitée par décret". Aussi, revient-il sur l'avis du Groupe de travail de l'Onu pour rappeler : "En avril 2015, cette structure a déclaré que Karim Wade a été arbitrairement arrêté et que sa détention est faite en violation du droit international". Ron Dellums d'en rajouter une couche en indiquant que "le mois dernier, le Groupe de travail des Nations Unies a réaffirmé ses conclusions et a appelé le régime de Macky Sall à faire libérer Karim Wade et de se conformer au droit international".
Prenant fait et cause pour Wade-fils, M. Dellums dira : "Lorsque le parti d'opposition, le Parti démocratique sénégalais, a désigné le fils de l'ancien Président Abdoulaye Wade, l'ancien ministre Karim Wade, comme son candidat pour la prochaine élection présidentielle, il était déjà en prison à la suite d'une décision prononcée par une juridiction qui a été ressuscitée par décret". Aussi, revient-il sur l'avis du Groupe de travail de l'Onu pour rappeler : "En avril 2015, cette structure a déclaré que Karim Wade a été arbitrairement arrêté et que sa détention est faite en violation du droit international". Ron Dellums d'en rajouter une couche en indiquant que "le mois dernier, le Groupe de travail des Nations Unies a réaffirmé ses conclusions et a appelé le régime de Macky Sall à faire libérer Karim Wade et de se conformer au droit international".