Amnesty International a classé l’affaire Karim Wade dans le lot des procès inéquitables. Ce dernier, condamné en mars dernier à 6 ans d’emprisonnement et une amende de 138,2 milliards de F Cfa, pour enrichissement illicite, est victime selon la structure d’une «détention arbitraire». Ce qui a poussé Seydi Gassama et ses collaborateurs à appeler l’Etat à respecter le droit.
Amnesty International, mettant à profit la présentation de son rapport annuel 2015/2016 pour rendre compte de la situation des droits humains dans le monde au cours de l’année 2015, a appelé «l’Etat du Sénégal à se conformer à l’avis du Groupe de travail des Nations unies et de mettre fin à la détention arbitraire de Karim Wade" .
" Cela signifie clairement que Karim Wade doit être remis en liberté et indemnisé pour la détention arbitraire dont il fait l’objet. L’Etat du Sénégal ne peut invoquer les manquements d’autres Etats pour justifier son refus de mettre en œuvre l’avis du Groupe de travail des Nations unies sur la détention arbitraire», a déclaré Seydi Gassama, directeur exécutif de Amnesty International Sénégal.
Amnesty International, mettant à profit la présentation de son rapport annuel 2015/2016 pour rendre compte de la situation des droits humains dans le monde au cours de l’année 2015, a appelé «l’Etat du Sénégal à se conformer à l’avis du Groupe de travail des Nations unies et de mettre fin à la détention arbitraire de Karim Wade" .
" Cela signifie clairement que Karim Wade doit être remis en liberté et indemnisé pour la détention arbitraire dont il fait l’objet. L’Etat du Sénégal ne peut invoquer les manquements d’autres Etats pour justifier son refus de mettre en œuvre l’avis du Groupe de travail des Nations unies sur la détention arbitraire», a déclaré Seydi Gassama, directeur exécutif de Amnesty International Sénégal.