«On a arrêté notre frère Fadilou Keita, coordonnateur du "Némékou tour" qui hante le sommeil du camp du pouvoir, pour le motif d’une publication sur Facebook (Voir le post en bas du texte), sur laquelle il avait été convoqué il y a une semaine de cela, puis relâché. On avait cru que c’en était fini. Mais, puisqu’ils n’avaient rien pu obtenir hier avec le camouflet qu’ils ont reçu (Ndlr : confrontation Sonko Adji Sarr), ils se rabattent maintenant sur l’entourage du Président Ousmane Sonko.»
Fadilou et Suzanne
«Qu’est-ce que Fadilou a dit qui soit plus grave que ce que Amath Suzane Camara a dit sur le plateau de la Sen Tv et qui est libre de ses mouvements. Il a dit que Didier Badji et Fulbert Sambou ont été tués ou qu’ils ont été noyés. Il n’a reçu aucune convocation. Fadilou n’a pas dit aussi grave que ça, il a émis une opinion. Et dans un pays démocratique, on est libre de dire sa pensée et de donner son opinion sur la marche de l’Etat sur les élèvement sen cours.»
Ce qu’exige le Pastef
«Et si ce qu’il a dit était aussi grave que ça, il aurait été alpagué le jour même. Et quand ils l’avaient entendu, ils savaient qu’ils n’avaient rien contre lui ils l’ont laissé rentrer et c’est le camouflet d’hier qui les a fait revenir à la charge. (…) Nous demandons sa libération immédiate et sans conditions, au même titre que la libération de tous les otages politiques.»
Fadilou et Suzanne
«Qu’est-ce que Fadilou a dit qui soit plus grave que ce que Amath Suzane Camara a dit sur le plateau de la Sen Tv et qui est libre de ses mouvements. Il a dit que Didier Badji et Fulbert Sambou ont été tués ou qu’ils ont été noyés. Il n’a reçu aucune convocation. Fadilou n’a pas dit aussi grave que ça, il a émis une opinion. Et dans un pays démocratique, on est libre de dire sa pensée et de donner son opinion sur la marche de l’Etat sur les élèvement sen cours.»
Ce qu’exige le Pastef
«Et si ce qu’il a dit était aussi grave que ça, il aurait été alpagué le jour même. Et quand ils l’avaient entendu, ils savaient qu’ils n’avaient rien contre lui ils l’ont laissé rentrer et c’est le camouflet d’hier qui les a fait revenir à la charge. (…) Nous demandons sa libération immédiate et sans conditions, au même titre que la libération de tous les otages politiques.»