Avant, entre le mois de mars explosif que le Sénégal a connu et Septembre 2021, il y a une histoire bien plus compliquée que les Sénégalais ignorent. Il s’en est passé des choses hallucinantes avant que la jeune masseuse vienne frapper à la porte de la seule femme qui a accepté de l’accueillir.
Après, c’est une Adji Sarr affirmative pour un procès que l’on a vu se confier à la presse internationale, mais aussi à la presse nationale qui jusque-là , n’ a pas eu le courage de publier les interviews qu’elle a bien accordée à certains de la presse écrite sénégalaise.
On avait crié au complot quand Adji Sarr avait parlé à la presse internationale francophone, mais quand cette dernière se livre à la presse nationale sénégalaise, ça reste discrètement dans les tiroirs pour ne jamais être publié. Là encore, c’est courage fuyons…. !
Maintenant, c’est un livre qui se profile pour éclairer la lanterne des sénégalais et du monde sur cette affaire qui les tient toujours en haleine après avoir divisé le pays et les sénégalais.
Gabrielle Kane ose encore !
Après la mise en avant de l’affaire Adji Sarr au plan international avec une campagne de presse bien huilée et explosive, la jeune femme couche sur papier la « part de vérité » d’Adji Sarr avec l’objectif de donner la parole à la jeune masseuse à qui la presse du pays ferme encore ses portes.
C’est donc un livre riche et explosif en révélation qui se profile sur la jeune masseuse, ses accusations contre le leader politique Ousmane Sonko mais aussi la gestion de l’Etat, des hommes politiques sénégalais et des associations de défenses des droits des femmes sur ce dossier .
Le manuscrit déposé dans deux maisons d’éditions étrangères fait déjà trembler du monde. Rien n’est écarté par la féministe qui transcrit les confidences de l’accusatrice d’Ousmane Sonko mais aussi ses propres confidences sur la gestion de celle que l’on appelle « le colis ». Des hautes autorités y sont citées explicitement avec des rôles plus ou moins surprenants, « un bal d’hypocrites et de lâches » soupire l’auteure.
Si Adji Sarr raconte son parcours d’orpheline, son arrivée dans la capitale, puis son entrée au célèbre salon de massage « Sweet Beauté », elle retrace ses contacts avec celui qu’elle accuse de « viol » et le rôle de la patronne des lieux devenue une ennemie viscérale.
La féministe assume son rôle de protectrice et narre des évènements à la fois hilarants et révoltants qui ne manqueront pas choquer et de faire tomber bien des masques dans les hautes sphères politiques et médiatiques du pays.
Après, c’est une Adji Sarr affirmative pour un procès que l’on a vu se confier à la presse internationale, mais aussi à la presse nationale qui jusque-là , n’ a pas eu le courage de publier les interviews qu’elle a bien accordée à certains de la presse écrite sénégalaise.
On avait crié au complot quand Adji Sarr avait parlé à la presse internationale francophone, mais quand cette dernière se livre à la presse nationale sénégalaise, ça reste discrètement dans les tiroirs pour ne jamais être publié. Là encore, c’est courage fuyons…. !
Maintenant, c’est un livre qui se profile pour éclairer la lanterne des sénégalais et du monde sur cette affaire qui les tient toujours en haleine après avoir divisé le pays et les sénégalais.
Gabrielle Kane ose encore !
Après la mise en avant de l’affaire Adji Sarr au plan international avec une campagne de presse bien huilée et explosive, la jeune femme couche sur papier la « part de vérité » d’Adji Sarr avec l’objectif de donner la parole à la jeune masseuse à qui la presse du pays ferme encore ses portes.
C’est donc un livre riche et explosif en révélation qui se profile sur la jeune masseuse, ses accusations contre le leader politique Ousmane Sonko mais aussi la gestion de l’Etat, des hommes politiques sénégalais et des associations de défenses des droits des femmes sur ce dossier .
Le manuscrit déposé dans deux maisons d’éditions étrangères fait déjà trembler du monde. Rien n’est écarté par la féministe qui transcrit les confidences de l’accusatrice d’Ousmane Sonko mais aussi ses propres confidences sur la gestion de celle que l’on appelle « le colis ». Des hautes autorités y sont citées explicitement avec des rôles plus ou moins surprenants, « un bal d’hypocrites et de lâches » soupire l’auteure.
Si Adji Sarr raconte son parcours d’orpheline, son arrivée dans la capitale, puis son entrée au célèbre salon de massage « Sweet Beauté », elle retrace ses contacts avec celui qu’elle accuse de « viol » et le rôle de la patronne des lieux devenue une ennemie viscérale.
La féministe assume son rôle de protectrice et narre des évènements à la fois hilarants et révoltants qui ne manqueront pas choquer et de faire tomber bien des masques dans les hautes sphères politiques et médiatiques du pays.