Les faits ont eu lieu lundi. Le technicien naval de la société Maritalia qui rentrait en Italie voir sa famille après six mois au Sénégal, a été arrêté à l’Aéroport international Blaise Diagne de Diass, où il a été pris en flagrant délit de vol d’un téléphone portable. A la barre, le propriétaire du téléphone, Cheikh Bamba Dieng, explique comment le prévenu a été pris la main dans le sac.
«A l’aérogare, j’avais branché mon téléphone et j’ai fait un petit tour. Au retour, j’étais surpris de voir qu’il avait disparu. Ce sont les caméras de la vidéo surveillance qui l’ont montré débranchant le portable et le mettant dans son sac», a déclaré le plaignant.
En larmes, le prévenu reconnaît les faits, demande pardon et dit l’avoir pris pour en demander le propriétaire mais pas pour le voler. Il ressort des débats d’audience que Geovanny était ivre au moment où il commettait ce vol.
«Nous disons mea culpa. Les faits sont constants. Mon client a été pris en flagrant délit de vol mais il était ivre. C’est un technicien naval qui n’a pas besoin de voler un portable. Si l’Islam nous interdit l’alcool, c’est parce que cela peut nous faire perdre la raison. Geovanny n’aurait pas volé ce portable s’il avait été lucide. C’est pourquoi je vous demande, Monsieur le Président, de le condamner à une peine d’avertissement», a plaidé Maître Fall, l’avocat de la défense.
«Perdonné», supplie le prévenu à la partie civile, les larmes aux yeux, embarrassé par la tournure des évènements. La partie civile n’a pas réclamé des dommages et intérêts.
Quant au technicien de l’entreprise de consignation de navires, il a écopé de deux mois de prison avec sursis.
«A l’aérogare, j’avais branché mon téléphone et j’ai fait un petit tour. Au retour, j’étais surpris de voir qu’il avait disparu. Ce sont les caméras de la vidéo surveillance qui l’ont montré débranchant le portable et le mettant dans son sac», a déclaré le plaignant.
En larmes, le prévenu reconnaît les faits, demande pardon et dit l’avoir pris pour en demander le propriétaire mais pas pour le voler. Il ressort des débats d’audience que Geovanny était ivre au moment où il commettait ce vol.
«Nous disons mea culpa. Les faits sont constants. Mon client a été pris en flagrant délit de vol mais il était ivre. C’est un technicien naval qui n’a pas besoin de voler un portable. Si l’Islam nous interdit l’alcool, c’est parce que cela peut nous faire perdre la raison. Geovanny n’aurait pas volé ce portable s’il avait été lucide. C’est pourquoi je vous demande, Monsieur le Président, de le condamner à une peine d’avertissement», a plaidé Maître Fall, l’avocat de la défense.
«Perdonné», supplie le prévenu à la partie civile, les larmes aux yeux, embarrassé par la tournure des évènements. La partie civile n’a pas réclamé des dommages et intérêts.
Quant au technicien de l’entreprise de consignation de navires, il a écopé de deux mois de prison avec sursis.