Le gendarme en service lui a fait savoir respectueusement que cela ne pouvait pas se faire en raison de nouvelles consignes de sécurité. Là, poursuit Libération, le mari de l’ex-Pm lui fait comprendre qu’il dispose d’un passeport diplomatique.
Le gendarme lui affirme que le document lui donne effectivement le droit de passer par le salon d’honneur et non de garer son véhicule dans le parking.
C’est alors que M. Coulibaly a vu rouge et a lancé au gendarme. « Vous savez qui je suis. Je suis l’époux de Aminata Touré ». Le gendarme lui répond : « Je ne sais pas qui vous êtes et il y a beaucoup de personnes répondant au nom de Aminata Touré au Sénégal. Je ne connais pas de Aminata Touré ».
Sur ce, l’époux de Mimi Touré, dans tous ses états, lance : « Vous ne connaissez pas Aminata Touré dit Mimi ? ». « Non », lui répond l’homme en bleu. Monsieur Coulibaly de balancer en direction du gendarme : « Vous êtes un ignorant ! ».
L’outrage étant clair, le gendarme n’a pas hésité à interpeller l’époux de Aminata Touré. Mais, chanceux, ce denier a été libéré suite à une médiation sur fond de pressions tous azimuts, indique Libération qui note que pour moins que ça, des citoyens “ordinaires” ont été jetés en prison.
Le gendarme lui affirme que le document lui donne effectivement le droit de passer par le salon d’honneur et non de garer son véhicule dans le parking.
C’est alors que M. Coulibaly a vu rouge et a lancé au gendarme. « Vous savez qui je suis. Je suis l’époux de Aminata Touré ». Le gendarme lui répond : « Je ne sais pas qui vous êtes et il y a beaucoup de personnes répondant au nom de Aminata Touré au Sénégal. Je ne connais pas de Aminata Touré ».
Sur ce, l’époux de Mimi Touré, dans tous ses états, lance : « Vous ne connaissez pas Aminata Touré dit Mimi ? ». « Non », lui répond l’homme en bleu. Monsieur Coulibaly de balancer en direction du gendarme : « Vous êtes un ignorant ! ».
L’outrage étant clair, le gendarme n’a pas hésité à interpeller l’époux de Aminata Touré. Mais, chanceux, ce denier a été libéré suite à une médiation sur fond de pressions tous azimuts, indique Libération qui note que pour moins que ça, des citoyens “ordinaires” ont été jetés en prison.