Suite à la mise en place des semences dans le monde rural, des voix se sont élevées pour remettre en question leur qualité. Hier, les femmes rurales du Sénégal ont fait face à la presse, pour balayer d’un revers de mains ces allégations.
Selon la présidente, seuls les paysans véreux tentent de saboter la présente campagne, en déclarant que les graines sont de mauvaises qualités. « C’est une fausse information et elle n’est pas fondée ».
Mme Mbaye de préciser que la déclaration a été faite par « des politiciens tapis dans l’ombre, qui veulent saboter le déroulement de la campagne et l’effort des uns et des autres pour booster le rendement dans le monde rural ».
Poussant le bouchon plus loin, la conseillère économique, sociale et environnementale, de pointer du doigt, ces paysans qu’elle considère comme des détracteurs.
« Ces paysan véreux veulent tout simplement semer le désordre dans le monde rural en déclarant que les semences ne sont pas de qualité. Donc, je comptais recadrer ces gens en leur disant que le Saloum ne rejette pas les semences. Nous avons reçu 40 tonnes de semences, mais nous attendons l’engrais ».
Sur un autre registre, les femmes rurales du Sénégal ont parlé des difficultés auxquelles toutes les femmes sont confrontées par rapport à l’accès à la terre, notamment dans le Saloum. « On nous louait les terres à 25 mille francs l’hectare. Mais pour cette année, nous déboursons 50 mille francs l’hectare. En plus de cela, les financements font défaut. Les banques ne jouent pas le jeu. Pour accompagner les femmes du monde rural. Il n’y a que l’Etat qui procède annuellement à la mise en place des semences », a conclu la présidente de la fédération des femmes rurales du Sénégal, qui regroupe 300 mille membres.
Tribune
Selon la présidente, seuls les paysans véreux tentent de saboter la présente campagne, en déclarant que les graines sont de mauvaises qualités. « C’est une fausse information et elle n’est pas fondée ».
Mme Mbaye de préciser que la déclaration a été faite par « des politiciens tapis dans l’ombre, qui veulent saboter le déroulement de la campagne et l’effort des uns et des autres pour booster le rendement dans le monde rural ».
Poussant le bouchon plus loin, la conseillère économique, sociale et environnementale, de pointer du doigt, ces paysans qu’elle considère comme des détracteurs.
« Ces paysan véreux veulent tout simplement semer le désordre dans le monde rural en déclarant que les semences ne sont pas de qualité. Donc, je comptais recadrer ces gens en leur disant que le Saloum ne rejette pas les semences. Nous avons reçu 40 tonnes de semences, mais nous attendons l’engrais ».
Sur un autre registre, les femmes rurales du Sénégal ont parlé des difficultés auxquelles toutes les femmes sont confrontées par rapport à l’accès à la terre, notamment dans le Saloum. « On nous louait les terres à 25 mille francs l’hectare. Mais pour cette année, nous déboursons 50 mille francs l’hectare. En plus de cela, les financements font défaut. Les banques ne jouent pas le jeu. Pour accompagner les femmes du monde rural. Il n’y a que l’Etat qui procède annuellement à la mise en place des semences », a conclu la présidente de la fédération des femmes rurales du Sénégal, qui regroupe 300 mille membres.
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