Le leader de Pastef risque de laisser de manière lamentable des plumes dans cette affaire de viols répétés et de menaces de morts, dont il est accusé par une des masseuses de « Sweet Beauty ». Un détail très équivoque, omis volontairement dans l’exposé de PV de la Gendarmerie, étalés sur la place publique, ressurgit au zénith. L’accoutrement des masseuses de ce Salon, lors des séances de massage veut dire beaucoup de choses.
En deux pièces, ces masseuses rejoignaient dans le jacuzzile client spécial, assez spécial…pour un traitement si spécial. Aucun des « investigateurs », très prolixes et régulièrement sur les réseaux sociaux, n’a osé exposer ce détail de taille… Peut-être, c’est leur manière de masquer la réalité des faits, tout en optant à tronqué la vraie vérité.
Seulement, Leral avait bien posé cette question, dont le lien de l’article est le suivant: https://www.leral.net/Affaire-Sonko-Adji-Sarr-Aux-revelateurs-de-PV-d-enquete-Comment-etaient-habillees-les-masseuses-de-Sweet-Beaute_a296108.html
C’est aujourd’hui que Dakaractu, reprenant l’article de la plateforme, Confidentiel Afrique, a donné une réponse à cette interpellation de Leral. Et, le contenu des articles de Dakaractu et de confidentiel confirme les écrits de Leral qui relevait ce détail aussi, important et susceptible de rendre plus compliqué la défense du leader de Pastef, impliqué dans une histoire lugubre et douteuse.
Partant de ce constat, Leral vous propose l’intégralité de l’article de Dakaractu, tiré en partie de Confidentiel Afrique.
Sweet Beauté/ Adji Sarr détaille les « massages » de Sonko : Le leader de Pastef chez ses avocats à la recherche de la bonne stratégie de défense
Si les nouveaux détails de ses relations sexuelles présumées avec Ousmane Sonko sont avérés, Adji Sarr risque de mettre à rude épreuve l’image du leader de Pastef Ousmane Sonko qu’il accuse de viol.
En effet, Confidentiel-Lettre Quotidienne explique dans sa livraison du jour, que les avocats qui entourent la jeune fille de 20 ans ont obtenu d’autres détails explosifs des relations entretenues entre le député et Adji Sarr.
Selon cette dernière, elle était devenue un objet sexuel d’Ousmane Sonko. Elle a assuré à ses conseils qu’il n’y avait pas que le massage. Lors d’une des séances « je portais une deux pièces pour le rejoindre dans le jacuzzi », a-t-elle notamment fait savoir.
Allant plus loin, elle a défié Sonko de décrire l’essentiel des marques et cicatrices sur son corps, s’il dément avoir entretenu des relations sexuelles avec elle. Décidée à se battre malgré les menaces, la jeune femme a aussi indiqué qu’il y avait d’autres types de relations à la limite « contre nature », indique CLQ.
Vendredi dernier Dakaractu annonçait qu’Ousmane Sonko avait décidé de ne pas déférer à la convocation de la commission ad hoc. Confidentiel confirme en indiquant que Samedi, presque durant une bonne partie de l'après-midi, il était dans le cabinet d’un de ses avocats en centre-ville de Dakar pour voir quelle stratégie adopter et il aurait décidé de pratiquer la politique de la chaise vide.
« En effet, même confronté à son accusatrice, Ousmane Sonko, dans le cadre d’un éventuel procès, pourrait faire comme Khalifa Sall ou Karim Wade en ne répondant pas aux questions. Car selon un de ses proches, Sonko voudrait éviter un affrontement public entre elle et la jeune femme pour la crédibilité de la suite de sa carrière politique », lit-on dans la publication pour finir.
En deux pièces, ces masseuses rejoignaient dans le jacuzzile client spécial, assez spécial…pour un traitement si spécial. Aucun des « investigateurs », très prolixes et régulièrement sur les réseaux sociaux, n’a osé exposer ce détail de taille… Peut-être, c’est leur manière de masquer la réalité des faits, tout en optant à tronqué la vraie vérité.
Seulement, Leral avait bien posé cette question, dont le lien de l’article est le suivant: https://www.leral.net/Affaire-Sonko-Adji-Sarr-Aux-revelateurs-de-PV-d-enquete-Comment-etaient-habillees-les-masseuses-de-Sweet-Beaute_a296108.html
C’est aujourd’hui que Dakaractu, reprenant l’article de la plateforme, Confidentiel Afrique, a donné une réponse à cette interpellation de Leral. Et, le contenu des articles de Dakaractu et de confidentiel confirme les écrits de Leral qui relevait ce détail aussi, important et susceptible de rendre plus compliqué la défense du leader de Pastef, impliqué dans une histoire lugubre et douteuse.
Partant de ce constat, Leral vous propose l’intégralité de l’article de Dakaractu, tiré en partie de Confidentiel Afrique.
Sweet Beauté/ Adji Sarr détaille les « massages » de Sonko : Le leader de Pastef chez ses avocats à la recherche de la bonne stratégie de défense
Si les nouveaux détails de ses relations sexuelles présumées avec Ousmane Sonko sont avérés, Adji Sarr risque de mettre à rude épreuve l’image du leader de Pastef Ousmane Sonko qu’il accuse de viol.
En effet, Confidentiel-Lettre Quotidienne explique dans sa livraison du jour, que les avocats qui entourent la jeune fille de 20 ans ont obtenu d’autres détails explosifs des relations entretenues entre le député et Adji Sarr.
Selon cette dernière, elle était devenue un objet sexuel d’Ousmane Sonko. Elle a assuré à ses conseils qu’il n’y avait pas que le massage. Lors d’une des séances « je portais une deux pièces pour le rejoindre dans le jacuzzi », a-t-elle notamment fait savoir.
Allant plus loin, elle a défié Sonko de décrire l’essentiel des marques et cicatrices sur son corps, s’il dément avoir entretenu des relations sexuelles avec elle. Décidée à se battre malgré les menaces, la jeune femme a aussi indiqué qu’il y avait d’autres types de relations à la limite « contre nature », indique CLQ.
Vendredi dernier Dakaractu annonçait qu’Ousmane Sonko avait décidé de ne pas déférer à la convocation de la commission ad hoc. Confidentiel confirme en indiquant que Samedi, presque durant une bonne partie de l'après-midi, il était dans le cabinet d’un de ses avocats en centre-ville de Dakar pour voir quelle stratégie adopter et il aurait décidé de pratiquer la politique de la chaise vide.
« En effet, même confronté à son accusatrice, Ousmane Sonko, dans le cadre d’un éventuel procès, pourrait faire comme Khalifa Sall ou Karim Wade en ne répondant pas aux questions. Car selon un de ses proches, Sonko voudrait éviter un affrontement public entre elle et la jeune femme pour la crédibilité de la suite de sa carrière politique », lit-on dans la publication pour finir.