“Je ne me considère pas comme un politicien. Je pense que Dieu m’a investi pour sauver la Gambie et initier un changement. Après ce changement, les politiciens prendront la relève. Mon parti continuera, mais je ne serai pas de la partie. Je suis businessman, je continuerai mes affaires”, annonce-t-il.
Evoquant la manière dont il a gagné la présidentielle, il indique que Yaya Jammeh savait que son règne était fini.
« Je n’ai jamais eu peur. Être un président sortant est un grand avantage en Afrique, mais le niveau de soutien populaire que nous avions était très difficile à neutraliser. C’est pourquoi nous étions convaincus que l’impossible pouvait devenir possible. Je dis toujours aux journalistes que le pouvoir appartient au peuple. Ce ne sont pas des paroles en l’air. Quand le peuple s’exprime, il faut le respecter. Si vous ne le faites pas, il faut en assumer les conséquences. Jammeh est très malin. Il connaissait notre popularité, la détermination des gens et leur colère. Il est là depuis 22 ans, il savait bien ce qui se tramait en Gambie. Les gens étaient prêts et n’avaient pas peur. Jammeh savait que c’était fini », a fait savoir Adama Barrow.
Evoquant la manière dont il a gagné la présidentielle, il indique que Yaya Jammeh savait que son règne était fini.
« Je n’ai jamais eu peur. Être un président sortant est un grand avantage en Afrique, mais le niveau de soutien populaire que nous avions était très difficile à neutraliser. C’est pourquoi nous étions convaincus que l’impossible pouvait devenir possible. Je dis toujours aux journalistes que le pouvoir appartient au peuple. Ce ne sont pas des paroles en l’air. Quand le peuple s’exprime, il faut le respecter. Si vous ne le faites pas, il faut en assumer les conséquences. Jammeh est très malin. Il connaissait notre popularité, la détermination des gens et leur colère. Il est là depuis 22 ans, il savait bien ce qui se tramait en Gambie. Les gens étaient prêts et n’avaient pas peur. Jammeh savait que c’était fini », a fait savoir Adama Barrow.