Devant la barre du tribunal de Grande instance de Saint-Louis, en janvier 2017, Hébert Mathias avait nié les faits à lui reprochés, faisant appel à son bon sens, qui avait-il soutenu, lui interdisait de verser dans certains agissements. «Je ne me permets pas certains actes. Personne ne peut affirmer m'avoir vu commettre cet acte », s’était-il défendu.
Hébert Mathias avait toutefois, admis s’être retrouvé au même endroit que A. K., la victime, mais avait nié tout acte répréhensible à son encontre. « J'étais en train de pisser lorsque le témoin m'a interpellé. A. K. est venu me tendre la main pour avoir de quoi acheter des cigarettes. Je l'ai repoussé », avait-t-il soutenu.
Cela, malgré les déclarations des témoins. « Il avait quelque chose dans la main et cherchait à le donner à A. K. Mathias courait derrière lui. Ils avaient tous les deux le pantalon baissé. C'est au moment où il l'a ceinturé que je suis intervenu », déclarait I. Kébé, à la barre. El Hadji Fall, affirmait avoir surpris Hébert Mathias, à deux reprise dans des positions indélicates. « Nous l'avons poursuivi et il a fui pour se réfugier dans une maison. Et pour se tirer d'affaire, il nous a taxé d'agresseurs », avait-il ajouté, racontait-il.
Se basant notamment sur le certificat médical qui faisait état de déchirures anales récentes de la victime, le ministère public avait requis contre le prévenu 10 ans de prison ferme, alors que la défense avait plaidé la relaxe, estimant qu'il n'y a aucun élément probant pour attester une conjonction sexuelle entre son client et la prétendue victime.
Au terme des débats d'audience, le tribunal avait écarté le chef de viol aggravé, pour retenir contre le prévenu le délit d'actes contre nature et avait condamné le prévenu à 2 ans de prison ferme, en plus d’une amende deux millions à titre de dommages et intérêts à la victime et une interdiction de séjour au Sénégal d'une durée de 10 ans.
Toutefois, en 2ème instance, les faits ont été disqualifiés en attentat a la pudeur. Et en 3ème instance, la cour de cassation a relaxé purement et simplement Hébert Mathias, soulignent les conseils du prévenu.
Hébert Mathias avait toutefois, admis s’être retrouvé au même endroit que A. K., la victime, mais avait nié tout acte répréhensible à son encontre. « J'étais en train de pisser lorsque le témoin m'a interpellé. A. K. est venu me tendre la main pour avoir de quoi acheter des cigarettes. Je l'ai repoussé », avait-t-il soutenu.
Cela, malgré les déclarations des témoins. « Il avait quelque chose dans la main et cherchait à le donner à A. K. Mathias courait derrière lui. Ils avaient tous les deux le pantalon baissé. C'est au moment où il l'a ceinturé que je suis intervenu », déclarait I. Kébé, à la barre. El Hadji Fall, affirmait avoir surpris Hébert Mathias, à deux reprise dans des positions indélicates. « Nous l'avons poursuivi et il a fui pour se réfugier dans une maison. Et pour se tirer d'affaire, il nous a taxé d'agresseurs », avait-il ajouté, racontait-il.
Se basant notamment sur le certificat médical qui faisait état de déchirures anales récentes de la victime, le ministère public avait requis contre le prévenu 10 ans de prison ferme, alors que la défense avait plaidé la relaxe, estimant qu'il n'y a aucun élément probant pour attester une conjonction sexuelle entre son client et la prétendue victime.
Au terme des débats d'audience, le tribunal avait écarté le chef de viol aggravé, pour retenir contre le prévenu le délit d'actes contre nature et avait condamné le prévenu à 2 ans de prison ferme, en plus d’une amende deux millions à titre de dommages et intérêts à la victime et une interdiction de séjour au Sénégal d'une durée de 10 ans.
Toutefois, en 2ème instance, les faits ont été disqualifiés en attentat a la pudeur. Et en 3ème instance, la cour de cassation a relaxé purement et simplement Hébert Mathias, soulignent les conseils du prévenu.