En l’espèce, le prévenu S. Seck et la partie civile A. F, père adoptif de la jeune D.G sont tous des locataires dans une maison, sise à Yeumbeul. Polygame et père de six enfants, le prévenu aurait profité de l’absence des parents de la jeune D.G pour l’entraîner dans sa chambre, avant de frotter son sexe jusqu’à éjaculation sur les parties intimes de sa présumée victime.
Revenant sur les faits à la barre, la partie civile raconte qu’il revenait du boulot le 11 octobre dernier, vers les coups de 15 h. Quelques minutes après avoir installé sa chaise dans le couloir pour prendre sa cigarette, sa fille sort de la chambre du prévenu et se dirige dans les toilettes. Très perplexe face à son comportement, il lui demande ce qu’elle faisait dans la chambre du prévenu, dès qu’elle est sortie du lieu sus-indiqué.
Et, la jeune D.G de déclarer à son père : « c’est S. Seck qui m’a demandé de venir lui acheter de la glace. Dès que, je suis entrée dans la chambre, il m’a entraîné de force dans son lit. Il a enlevé mon pagne et ma culotte, avant de frotter son sexe sur le mien. J’étais dans la toilette pour nettoyer le liquide blanc qui était sur mes partie intimes », accuse la jeune D.G, qui a réitéré les mêmes déclarations aujourd’hui, à la barre.
Et pour en avoir le cœur net, la partie civile a conduit sa fille dare-dare à l’hôpital Roi Baudoin de Guédiawaye, avant de déposer sa plainte au niveau du commissariat de Yeumbeul. Après l’avoir examiné, la blouse blanche a conclu l’existence de trois lésions hyménales récentes.
Interpelé à son tour, le prévenu s’inscrit en faux contre les accusations de la fillette. Selon lui, c’est la partie civile qui a dicté à cette dernière ses déclarations. Parce que, son voisin aurait gardé une certaine haine envers lui, après avoir refusé de lui prêter de l’argent.
« Après l’avoir appelé dans ma chambre, c’est elle qui y est restée de son propre gré pour regarder une série de théâtre qui passait sur une chaîne de télévision. Dès que la série est terminée, elle m’a signalé qu’elle va d’abord aller aux toilettes, avant de partir acheter de la glace. C’est sur ces entrefaites, qu’elle a croisé son père dans les couloirs. Ce dernier, l’a soumis à des interrogations. Mais, je n’ai jamais touché à aucun tif de cheveux de la fillette », se dédouane le prévenu.
Selon la partie civile, c’était la première fois qu’elle voyait sa fille entrer dans la chambre du prévenu. A chaque fois, que ce dernier avait besoin de sa fille pour ses commissions, il sortait de sa chambre pour rejoindre sa présumée victime dans le couloir. C’est ce qui a éveillé en lui des soupçons. Mais, il n’a jamais eu de problème avec le présumé violeur de sa fille.
Convaincue de la constance des faits, la représentante du Ministère public a requis 10 ans ferme contre le prévenu pour viol, pédophilie et détournement de mineure. Selon elle, il y a eu pénétration sexuelle et celle-ci, est matérialisée par le certificat médical.
La défense quant à lui, a plaidé pour la relaxe au bénéfice du doute. Et, à titre subsidiaire, elle a demandé la disqualification des faits en viol simple. Selon la robe noire, rien ne prouve que la fillette est âgée de moins de 13 ans. Puisque, dit- il, cette dernière n’a pas été déclarée à sa naissance. En outre, la partie civile aurait dû vérifier, s’il y avait des traces de spermes sur les partie intimes de la fillette.
Au terme des plaidoiries, le tribunal a fixé le délibéré au 6 novembre prochain.
Revenant sur les faits à la barre, la partie civile raconte qu’il revenait du boulot le 11 octobre dernier, vers les coups de 15 h. Quelques minutes après avoir installé sa chaise dans le couloir pour prendre sa cigarette, sa fille sort de la chambre du prévenu et se dirige dans les toilettes. Très perplexe face à son comportement, il lui demande ce qu’elle faisait dans la chambre du prévenu, dès qu’elle est sortie du lieu sus-indiqué.
Et, la jeune D.G de déclarer à son père : « c’est S. Seck qui m’a demandé de venir lui acheter de la glace. Dès que, je suis entrée dans la chambre, il m’a entraîné de force dans son lit. Il a enlevé mon pagne et ma culotte, avant de frotter son sexe sur le mien. J’étais dans la toilette pour nettoyer le liquide blanc qui était sur mes partie intimes », accuse la jeune D.G, qui a réitéré les mêmes déclarations aujourd’hui, à la barre.
Et pour en avoir le cœur net, la partie civile a conduit sa fille dare-dare à l’hôpital Roi Baudoin de Guédiawaye, avant de déposer sa plainte au niveau du commissariat de Yeumbeul. Après l’avoir examiné, la blouse blanche a conclu l’existence de trois lésions hyménales récentes.
Interpelé à son tour, le prévenu s’inscrit en faux contre les accusations de la fillette. Selon lui, c’est la partie civile qui a dicté à cette dernière ses déclarations. Parce que, son voisin aurait gardé une certaine haine envers lui, après avoir refusé de lui prêter de l’argent.
« Après l’avoir appelé dans ma chambre, c’est elle qui y est restée de son propre gré pour regarder une série de théâtre qui passait sur une chaîne de télévision. Dès que la série est terminée, elle m’a signalé qu’elle va d’abord aller aux toilettes, avant de partir acheter de la glace. C’est sur ces entrefaites, qu’elle a croisé son père dans les couloirs. Ce dernier, l’a soumis à des interrogations. Mais, je n’ai jamais touché à aucun tif de cheveux de la fillette », se dédouane le prévenu.
Selon la partie civile, c’était la première fois qu’elle voyait sa fille entrer dans la chambre du prévenu. A chaque fois, que ce dernier avait besoin de sa fille pour ses commissions, il sortait de sa chambre pour rejoindre sa présumée victime dans le couloir. C’est ce qui a éveillé en lui des soupçons. Mais, il n’a jamais eu de problème avec le présumé violeur de sa fille.
Convaincue de la constance des faits, la représentante du Ministère public a requis 10 ans ferme contre le prévenu pour viol, pédophilie et détournement de mineure. Selon elle, il y a eu pénétration sexuelle et celle-ci, est matérialisée par le certificat médical.
La défense quant à lui, a plaidé pour la relaxe au bénéfice du doute. Et, à titre subsidiaire, elle a demandé la disqualification des faits en viol simple. Selon la robe noire, rien ne prouve que la fillette est âgée de moins de 13 ans. Puisque, dit- il, cette dernière n’a pas été déclarée à sa naissance. En outre, la partie civile aurait dû vérifier, s’il y avait des traces de spermes sur les partie intimes de la fillette.
Au terme des plaidoiries, le tribunal a fixé le délibéré au 6 novembre prochain.