Au bout du fil, l’édile des Hlm explique : “j’étais dans mon bureau, lorsque la journaliste de Sen Tv m’a joint par téléphone, pour solliciter que je lui accorde une interview. Et ce, après qu’elle m’a fait part de l’affaire d’une Société spécialisée dans les bâches”.
A cet effet, ajoute Papa Seck, “je lui ai demandé de venir à mon bureau, pour que je lui serve ma version des faits. Ce qu’elle a, vraiment, bien voulu faire”.
“Je devais aller à un décès et je l’ai suppliée de reporter l’interview, à défaut de pouvoir la faire par téléphone, mais Madame Ndèye Khady Thiam n’a voulu rien entendre", dit-il.
"Malheureusement, quelques minutes après notre échange téléphonique, souligne le maire des Hlm, j’ai reçu un coup de fil m’annonçant un décès. Et je devais immédiatement me rendre auprès de la famille éplorée”. Une fois dans l’enceinte de la Municipalité, je me suis rendu compte, affirme toujours le maire, “que j’avais déjà donné ma parole à Madame Ndèye Khady Thiam Tall, pour l’interview”.
C’est ainsi que, fait-il noter, “j’ai regardé dans mes derniers appels reçus sur mon téléphone, j’ai pu retrouver son numéro et j’ai tenu, par respect à la personne humaine, de manière générale, et aux journalistes en particulier, à la joindre. Pour lui présenter mes excuses et mon regret de ne plus lui accorder l’interview. Parce qu’on venait de m’annoncer un décès”.
Toutefois, selon le Premier magistrat des Hlm, grande a été sa surprise de voir Madame Ndèye Khady Thiam Tall ne rien vouloir comprendre de son empêchement de dernière minute. En dépit de mon insistance à lui expliquer que je ne refusais pas de lui accorder l’entretien, elle n’a rien voulu entendre”.
Pour trouver une solution de sortie de crise, “je lui ai même proposé d’être enregistré par téléphone, une fois qu’elle rejoindra la Rédaction ; le temps, moi aussi, que je puisse faire un saut auprès de la famille éplorée. Mais là aussi, Madame Ndèye Khady Tall s’est mise à crier à-tue-tête et j’étais même dépassé par la tournure des événements”, narre-t-il.
“Je parle sous le contrôle du chauffeur de reportage de D Médias, lui a assisté à toute la scène”
"Dans la foulée, elle m’a traité de tous les noms d’oiseau, non sans se demander pour qui je me prenais. Sur ce, son cameraman a voulu me filmer, je lui ai demandé, gentiment, de ne pas me filmer en pleine rue, et qu’il serait mieux qu’il attende, s’il le faut, que j’aille voir la famille éplorée, pour ensuite me rendre à la Rédaction. C’était sans compter avec la journaliste qui a demandé au cameraman de filmer. Comme si j’avais senti ce genre d’accusations qu’elle m’a collées et selon lesquelles je l’aurais agressée. J’ai pris la caméra, je me suis dirigé au véhicule de Sen Tv et je l’ai remise, sereinement, au chauffeur de D Média. D’ailleurs, je parle sous le contrôle du chauffeur. Lui a assisté à toute la scène. Je lui ai confié la caméra, parce que je ne voulais même pas que quelqu’un des passants qui ont assisté à la scène puisse bousculer la caméra, la faire tomber et qu’on puisse me l’imputer. Quand ils ont décidé de quitter les lieux, j’ai tenu à laisser dans les locaux de la Mairie mon propre véhicule et d’entrer dans le véhicule de reportage de D Média. J’ai embarqué à bord du véhicule de D Média, pour expliquer à la Direction la vérité et rien que la vérité des faits, mais une fois sur place, Madame Ndèye Khady Thiam m’a interdit de monter dans l’immeuble. Là aussi, Madame Ndèye Khady Thiam Tall me somme de ne pas monter dans leur voiture. Mais après en avoir demandé la permission au chauffeur, celui-ci me laissa, gentiment, d’embarquer à bord. La journaliste pique encore une colère inimaginable, en engueulant le chauffeur, au motif qu’étant la patronne du véhicule, ce dernier n’avait aucun droit de me laisser m’asseoir à l’intérieur. Ainsi, elle a continué à me crier dessus. N’empêche, je n’ai pas pipé mot. D’ailleurs, le chauffeur m’a ensuite serré la main et m’a demandé pardon, parce que, sûrement, il me voyait être humilié impuissant par cette femme. Arrivé devant la porte de Zik Fm et Sen Tv, j’ai voulu franchir le portail, mais Madame Ndèye Khady Thiam donna des instructions au vigile pour que je n’accède pas sur les lieux. Or, je voulais juste expliquer le déroulement des évènements et permettre à la Direction de D Médias de comprendre exactement ce qui s’est passé. Après avoir beau insister en vain auprès du vigile, c’est Ndiaye Doss, qui m’a trouvé dehors et qui m’a permis de monter. Une fois dans les locaux de D Médias, Madame Ndèye Khady Thiam m’a encore traité de tous les noms d’oiseau. J’étais très mal, mais je n’ai pas pipé mot. Une fois dans les locaux de D Média, le cameraman et la journaliste m’ont traité de tous les noms d’oiseaux. Ce n’est pas tout. Car le caméraman était, au moment où la journaliste me balançait des vertes et des pas mûres, en train de taxer de toutes les saletés. Mais j’ai continué à garder mon calme. Quand Madame Ndèye Khady Thiam dit que je l’ai agressée ou j’ai endommagé sa caméra, je peux mettre ma main sur le Livre Saint, le Coran, pour jurer qu’il n’en est absolument rien du tout", raconte-il.
Et puis, se demande le maire Papa Seck, “est-ce que la raison accepte que je puisse l’agresser et ensuite partager son véhicule avec elle, pour rallier son lieu de travail ? Sérieusement, est-ce que la logique accepte de croire à une telle idée ?”. "Je crois que, dit-il, tous les journalistes qui me connaissent, savent que je me suis jamais montré désobligeant envers qui que ce soit. Et puis comment une journaliste veut m’offrir l’opportunité de m’expliquer sur une affaire comme celle des bâches et que je puisse la violenter ?"
A cet effet, ajoute Papa Seck, “je lui ai demandé de venir à mon bureau, pour que je lui serve ma version des faits. Ce qu’elle a, vraiment, bien voulu faire”.
“Je devais aller à un décès et je l’ai suppliée de reporter l’interview, à défaut de pouvoir la faire par téléphone, mais Madame Ndèye Khady Thiam n’a voulu rien entendre", dit-il.
"Malheureusement, quelques minutes après notre échange téléphonique, souligne le maire des Hlm, j’ai reçu un coup de fil m’annonçant un décès. Et je devais immédiatement me rendre auprès de la famille éplorée”. Une fois dans l’enceinte de la Municipalité, je me suis rendu compte, affirme toujours le maire, “que j’avais déjà donné ma parole à Madame Ndèye Khady Thiam Tall, pour l’interview”.
C’est ainsi que, fait-il noter, “j’ai regardé dans mes derniers appels reçus sur mon téléphone, j’ai pu retrouver son numéro et j’ai tenu, par respect à la personne humaine, de manière générale, et aux journalistes en particulier, à la joindre. Pour lui présenter mes excuses et mon regret de ne plus lui accorder l’interview. Parce qu’on venait de m’annoncer un décès”.
Toutefois, selon le Premier magistrat des Hlm, grande a été sa surprise de voir Madame Ndèye Khady Thiam Tall ne rien vouloir comprendre de son empêchement de dernière minute. En dépit de mon insistance à lui expliquer que je ne refusais pas de lui accorder l’entretien, elle n’a rien voulu entendre”.
Pour trouver une solution de sortie de crise, “je lui ai même proposé d’être enregistré par téléphone, une fois qu’elle rejoindra la Rédaction ; le temps, moi aussi, que je puisse faire un saut auprès de la famille éplorée. Mais là aussi, Madame Ndèye Khady Tall s’est mise à crier à-tue-tête et j’étais même dépassé par la tournure des événements”, narre-t-il.
“Je parle sous le contrôle du chauffeur de reportage de D Médias, lui a assisté à toute la scène”
"Dans la foulée, elle m’a traité de tous les noms d’oiseau, non sans se demander pour qui je me prenais. Sur ce, son cameraman a voulu me filmer, je lui ai demandé, gentiment, de ne pas me filmer en pleine rue, et qu’il serait mieux qu’il attende, s’il le faut, que j’aille voir la famille éplorée, pour ensuite me rendre à la Rédaction. C’était sans compter avec la journaliste qui a demandé au cameraman de filmer. Comme si j’avais senti ce genre d’accusations qu’elle m’a collées et selon lesquelles je l’aurais agressée. J’ai pris la caméra, je me suis dirigé au véhicule de Sen Tv et je l’ai remise, sereinement, au chauffeur de D Média. D’ailleurs, je parle sous le contrôle du chauffeur. Lui a assisté à toute la scène. Je lui ai confié la caméra, parce que je ne voulais même pas que quelqu’un des passants qui ont assisté à la scène puisse bousculer la caméra, la faire tomber et qu’on puisse me l’imputer. Quand ils ont décidé de quitter les lieux, j’ai tenu à laisser dans les locaux de la Mairie mon propre véhicule et d’entrer dans le véhicule de reportage de D Média. J’ai embarqué à bord du véhicule de D Média, pour expliquer à la Direction la vérité et rien que la vérité des faits, mais une fois sur place, Madame Ndèye Khady Thiam m’a interdit de monter dans l’immeuble. Là aussi, Madame Ndèye Khady Thiam Tall me somme de ne pas monter dans leur voiture. Mais après en avoir demandé la permission au chauffeur, celui-ci me laissa, gentiment, d’embarquer à bord. La journaliste pique encore une colère inimaginable, en engueulant le chauffeur, au motif qu’étant la patronne du véhicule, ce dernier n’avait aucun droit de me laisser m’asseoir à l’intérieur. Ainsi, elle a continué à me crier dessus. N’empêche, je n’ai pas pipé mot. D’ailleurs, le chauffeur m’a ensuite serré la main et m’a demandé pardon, parce que, sûrement, il me voyait être humilié impuissant par cette femme. Arrivé devant la porte de Zik Fm et Sen Tv, j’ai voulu franchir le portail, mais Madame Ndèye Khady Thiam donna des instructions au vigile pour que je n’accède pas sur les lieux. Or, je voulais juste expliquer le déroulement des évènements et permettre à la Direction de D Médias de comprendre exactement ce qui s’est passé. Après avoir beau insister en vain auprès du vigile, c’est Ndiaye Doss, qui m’a trouvé dehors et qui m’a permis de monter. Une fois dans les locaux de D Médias, Madame Ndèye Khady Thiam m’a encore traité de tous les noms d’oiseau. J’étais très mal, mais je n’ai pas pipé mot. Une fois dans les locaux de D Média, le cameraman et la journaliste m’ont traité de tous les noms d’oiseaux. Ce n’est pas tout. Car le caméraman était, au moment où la journaliste me balançait des vertes et des pas mûres, en train de taxer de toutes les saletés. Mais j’ai continué à garder mon calme. Quand Madame Ndèye Khady Thiam dit que je l’ai agressée ou j’ai endommagé sa caméra, je peux mettre ma main sur le Livre Saint, le Coran, pour jurer qu’il n’en est absolument rien du tout", raconte-il.
Et puis, se demande le maire Papa Seck, “est-ce que la raison accepte que je puisse l’agresser et ensuite partager son véhicule avec elle, pour rallier son lieu de travail ? Sérieusement, est-ce que la logique accepte de croire à une telle idée ?”. "Je crois que, dit-il, tous les journalistes qui me connaissent, savent que je me suis jamais montré désobligeant envers qui que ce soit. Et puis comment une journaliste veut m’offrir l’opportunité de m’expliquer sur une affaire comme celle des bâches et que je puisse la violenter ?"