Âgé de 37 ans, marié et père de deux enfants, C. Diop suspecté d’avoir eu des rapports sexuels avec l’une des épouses de son cousin, M. Cissé. De graves accusations qui ont suscité la colère du père de famille qui a endommagé les travaux de construction que son « rival » avait entrepris dans le domicile familial.
Pis, le pyromane avait déversé de l’essence sur les lieux, avant d’y mettre le feu. L‘incendie a été très vite maîtrisé par les autres membres de la famille. Inculpé pour dommage à la propriété immobilière d’autrui, incendie volontaire, violence et voie de fait, le prévenu indique qu’il avait brûlé les papiers que le boutiquier de son quartier lui avait offerts. « J’étais hors de moi. La rumeur avait fait le tour du quartier.
Alors que ses deux femmes n’habitent pas dans la maison », a-t-il lâché. Lorsque la parquetière a lu une partie du procès-verbal, le mis en cause s’est tenu à carreau. « Je reconnais avoir détruit les constructions et incendié le toit de la bâtisse avec de l’essence.
Il n’y avait personne sur les lieux », a-t-il glissé, tout en présentant ses plates excuses au plaignant. D’après celui-ci, les flammes ont consumé sa bâche. « J’étais sorti au moment des faits. Il n’a fait qu’exécuter ses menaces », regrette-t-il.
La déléguée du procureur a requis deux ans de prison ferme, après avoir demandé la disqualification du chef de violence et voie en menace. Délibéré ce lundi 27 juin 2022, informe Senenews.
Pis, le pyromane avait déversé de l’essence sur les lieux, avant d’y mettre le feu. L‘incendie a été très vite maîtrisé par les autres membres de la famille. Inculpé pour dommage à la propriété immobilière d’autrui, incendie volontaire, violence et voie de fait, le prévenu indique qu’il avait brûlé les papiers que le boutiquier de son quartier lui avait offerts. « J’étais hors de moi. La rumeur avait fait le tour du quartier.
Alors que ses deux femmes n’habitent pas dans la maison », a-t-il lâché. Lorsque la parquetière a lu une partie du procès-verbal, le mis en cause s’est tenu à carreau. « Je reconnais avoir détruit les constructions et incendié le toit de la bâtisse avec de l’essence.
Il n’y avait personne sur les lieux », a-t-il glissé, tout en présentant ses plates excuses au plaignant. D’après celui-ci, les flammes ont consumé sa bâche. « J’étais sorti au moment des faits. Il n’a fait qu’exécuter ses menaces », regrette-t-il.
La déléguée du procureur a requis deux ans de prison ferme, après avoir demandé la disqualification du chef de violence et voie en menace. Délibéré ce lundi 27 juin 2022, informe Senenews.