L’affaire de pédophilie sur des élèves coraniques à Mbour impliquant le français Alain Leclech sera évoquée en Chambre de conseil, rapporte L’Observateur, par le tribunal de Thiès. Au cours de l’enquête préliminaire, ses quatre victimes avaient tous déclaré avoir été sexuellement abusés par ce dernier. Des allégations confirmées par le médecin légiste de l’hôpital de grand Mbour qui atteste « des violences sexuelles sur ses patients qui présentent des saignements, des fissures dans leur anus, occasionnés par des pénétrations par voie anale ».
Né en 1957 à Paris et marié depuis 10 ans à une Sénégalaise avec qui il a eu 3 enfants, Alain Leclech continue de clamer son innocence malgré le fait qu’il reconnaisse que ces talibés toquaient à sa porte pour demander de l’aumône. Selon lui, au début, c’est son épouse qui s’en chargeait mais depuis qu’elle est partie en France, c’est lui qui leur ouvrait la porte pour leur donner des pièces de monnaie. Le Français a dit aux enquêteurs qu’il était victime d’un complot ourdi par des individus qui veulent nuire à sa réputation. Ainsi, il a accusé un certain J. A. Diedhiou avec qui il a eu des accrochages. Et, pour ce qui est du préservatif trouvé dans sa chambre lors de la perquisition, il répond que c’est le dernier d’un paquet de 3 condoms qu’il a entamé pour entretenir des relations sexuelles avec sa maîtresse qui vit au Mali. Des allégations que le Français Leclech aura la latitude de défendre prochainement lors de son audience en Chambre de conseil.
Né en 1957 à Paris et marié depuis 10 ans à une Sénégalaise avec qui il a eu 3 enfants, Alain Leclech continue de clamer son innocence malgré le fait qu’il reconnaisse que ces talibés toquaient à sa porte pour demander de l’aumône. Selon lui, au début, c’est son épouse qui s’en chargeait mais depuis qu’elle est partie en France, c’est lui qui leur ouvrait la porte pour leur donner des pièces de monnaie. Le Français a dit aux enquêteurs qu’il était victime d’un complot ourdi par des individus qui veulent nuire à sa réputation. Ainsi, il a accusé un certain J. A. Diedhiou avec qui il a eu des accrochages. Et, pour ce qui est du préservatif trouvé dans sa chambre lors de la perquisition, il répond que c’est le dernier d’un paquet de 3 condoms qu’il a entamé pour entretenir des relations sexuelles avec sa maîtresse qui vit au Mali. Des allégations que le Français Leclech aura la latitude de défendre prochainement lors de son audience en Chambre de conseil.