C'est l'un des avocats de Cheikh Sidaty Mané qui m'a mise dans cette situation. Il soutient partout que c'est moi qui ai fait condamner son client à 20 ans de travaux forcés. Il a fomenté tout ce plan pour me nuire", a déclaré Arame Sow attraite à la barre par un commerçant à qui elle voulait escroquer 10 000 FCfa. "Je suis traumatisée. On m'insulte à longueur de journée parce que les gens pensent que j'ai témoigné contre Cheikh Sidaty Mané et Cheikh Diop. Or, dans cette affaire, je n'ai dit que la vérité", se défend-elle.
Sur le délit d'usurpation d'identité, la jeune femme jure qu'elle n'a jamais donné aux éléments enquêteurs une fausse identité. A l'en croire, indique Libération, le prénom de Ndèye Sokhna Diouf, mentionné dans le procès-verbal de l'enquête préliminaire, est celui de sa maman. "C'est le Commandant Ibrahima de la Brigade de Yoff qui a commis l'erreur. Il est mon ex-copain et il ne m'a pas demandé mon prénom", déballe-t-elle.
Pour les faits qui l'ont amené à la barre jure avoir remis la somme de 10 000 FCfa au boutiquier qui a refusé de lui rendre sa monnaie. "Je n'ai escroqué personne. Tout cela, c'est de l'intimidation. Tout le monde me fait du mal. On profère des insanités à mon encontre à longueur de journée", dénonce-t-elle. Son avocat d'emboucher la même trompette pour déplorer la stigmatisation dont sa cliente fait l'objet. "Aux Etats-Unis, elle aurait pu être protégée. Mais, aujourd'hui, elle a été abandonnée à elle-même après qu'elle a eu le courage d'aller témoigner pour la manifestation de la vérité dans une affaire de meurtre", dit-il dans les colonnes du journal révélant que la jeune dame est traquée sans cesse dans les rues de Colobane.
Quant au maître des poursuites, il s'est rapporté à la décision du juge. L'affaire est mise en délibérée jusqu'au 23 avril.
Sur le délit d'usurpation d'identité, la jeune femme jure qu'elle n'a jamais donné aux éléments enquêteurs une fausse identité. A l'en croire, indique Libération, le prénom de Ndèye Sokhna Diouf, mentionné dans le procès-verbal de l'enquête préliminaire, est celui de sa maman. "C'est le Commandant Ibrahima de la Brigade de Yoff qui a commis l'erreur. Il est mon ex-copain et il ne m'a pas demandé mon prénom", déballe-t-elle.
Pour les faits qui l'ont amené à la barre jure avoir remis la somme de 10 000 FCfa au boutiquier qui a refusé de lui rendre sa monnaie. "Je n'ai escroqué personne. Tout cela, c'est de l'intimidation. Tout le monde me fait du mal. On profère des insanités à mon encontre à longueur de journée", dénonce-t-elle. Son avocat d'emboucher la même trompette pour déplorer la stigmatisation dont sa cliente fait l'objet. "Aux Etats-Unis, elle aurait pu être protégée. Mais, aujourd'hui, elle a été abandonnée à elle-même après qu'elle a eu le courage d'aller témoigner pour la manifestation de la vérité dans une affaire de meurtre", dit-il dans les colonnes du journal révélant que la jeune dame est traquée sans cesse dans les rues de Colobane.
Quant au maître des poursuites, il s'est rapporté à la décision du juge. L'affaire est mise en délibérée jusqu'au 23 avril.