C’est une avancée qui ravit le personnel médical. «A Tambacounda, a expliqué le médecin-chef de région, le taux d’accouchement assisté est passé de 50% en 2018 à 95,4% en 2021. Il nous reste un faible gap à combler et nous sommes en train d’y travailler avec l’ensemble des partenaires, la Société civile, les religieux, les émigrés et la presse locale.»
D'après Le Quotidien, le médecin-chef de la région de Tambacounda, Dr Bayal Cissé, s’adressait à la presse en marge d’une visite organisée dans le cadre de la mise en œuvre du Projet d’amélioration de la santé et du bien-être des femmes et des adolescentes dans les régions de Tambacounda, Kolda et Sédhiou.
Sur la situation du pôle mère-enfant, il explique : «La prise en charge de la santé de la mère et de l’enfant dépend des accouchements qualifiés, de la planification familiale, entre autres facteurs. C’est la raison pour laquelle nous avons fini de former aujourd’hui des médecins qui savent faire une césarienne. Ces opérations peuvent se faire aujourd’hui dans les localités de Koumpentoum, Makacolibantang, Goudiry et Bakel.»
Il informe qu’un infirmier, spécialisé en anesthésie-réanimation, a été formé avec l’aide du Comité de développement sanitaire de Koumpentoum pour une bonne couverture sanitaire des populations. «Aujourd’hui, il lui reste quelques semaines d’immersion à l’Hôpital régional de Tambacounda pour après regagner le district de Koumpentoum où le niveau a été relevé avec la présence d’un gynécologue», enchaîne Dr Cissé.
Selon lui, une «activité innovatrice, dénommée Chirurgie mobile, avait été menée durant les trois dernières années afin d’appuyer la stratégie consistant à identifier les femmes enceintes porteuses de complications morbides.» Quid des consultations prénatales ? «Un nombre important de sages-femmes avait été formé en leadership transformationnel afin d’anticiper les facteurs morbides. Ce qui a permis de réaliser une quarantaine de césariennes et beaucoup de cas de fistules pris en charge», dévoile Amadou Bayal Cissé.
Autant de résultats ont été obtenus grâce à «un bon maillage» de la région en termes d’infrastructures sanitaires. «Aujourd’hui, dans la région de Tambacounda, il est très rare de faire plus de 20 kilomètres sans trouver un poste de santé. Nous avons les ressources humaines et les infrastructures adéquates (106 postes de santé, 11 centres de santé et un Eps)», avance Dr Cissé.
D'après Le Quotidien, le médecin-chef de la région de Tambacounda, Dr Bayal Cissé, s’adressait à la presse en marge d’une visite organisée dans le cadre de la mise en œuvre du Projet d’amélioration de la santé et du bien-être des femmes et des adolescentes dans les régions de Tambacounda, Kolda et Sédhiou.
Sur la situation du pôle mère-enfant, il explique : «La prise en charge de la santé de la mère et de l’enfant dépend des accouchements qualifiés, de la planification familiale, entre autres facteurs. C’est la raison pour laquelle nous avons fini de former aujourd’hui des médecins qui savent faire une césarienne. Ces opérations peuvent se faire aujourd’hui dans les localités de Koumpentoum, Makacolibantang, Goudiry et Bakel.»
Il informe qu’un infirmier, spécialisé en anesthésie-réanimation, a été formé avec l’aide du Comité de développement sanitaire de Koumpentoum pour une bonne couverture sanitaire des populations. «Aujourd’hui, il lui reste quelques semaines d’immersion à l’Hôpital régional de Tambacounda pour après regagner le district de Koumpentoum où le niveau a été relevé avec la présence d’un gynécologue», enchaîne Dr Cissé.
Selon lui, une «activité innovatrice, dénommée Chirurgie mobile, avait été menée durant les trois dernières années afin d’appuyer la stratégie consistant à identifier les femmes enceintes porteuses de complications morbides.» Quid des consultations prénatales ? «Un nombre important de sages-femmes avait été formé en leadership transformationnel afin d’anticiper les facteurs morbides. Ce qui a permis de réaliser une quarantaine de césariennes et beaucoup de cas de fistules pris en charge», dévoile Amadou Bayal Cissé.
Autant de résultats ont été obtenus grâce à «un bon maillage» de la région en termes d’infrastructures sanitaires. «Aujourd’hui, dans la région de Tambacounda, il est très rare de faire plus de 20 kilomètres sans trouver un poste de santé. Nous avons les ressources humaines et les infrastructures adéquates (106 postes de santé, 11 centres de santé et un Eps)», avance Dr Cissé.