Comme à l’accoutumée, le Syndicat Autonome des Médecins, Pharmaciens et Chirurgiens-dentistes du Sénégal (Sames) est monté au créneau pour dénoncer les lenteurs notées dans l’application des accords signés avec le gouvernement du Sénégal. Ces accords sont relatifs à la revalorisation de l'indemnité de représentation médicale et de l'indemnité de logement. «Ces lenteurs concernent les agents contractuels des structures de santé, les agents des collectivités territoriales et les camarades des sections particulières, notamment la Pharmacie Nationale d’Approvisionnement (Pna), l’Agence Nationale de la Couverture Maladie Universelle (Ancmu), le Samu, l’Ismea entre autres. Depuis quelque temps, l’hôpital régional de Kolda est secoué par une histoire de primes. Les travailleurs sont même allés jusqu’à interdire l’accès au directeur de l’hôpital la semaine passée. Nous apportons notre soutien à la section locale ainsi qu'à l'intersyndicale des travailleurs dudit hôpital», a soutenu les membres du Sames, nous dit L'As.
Entre autres difficultés majeures, ils soutiennent qu’ils sont restés quatre mois sans recevoir leurs primes, soit une perte de 40% de leurs revenus mensuels pour les médecins spécialistes. «Le Ben exige de la tutelle une prise en charge diligente de cette question pour un règlement définitif, passant par l'amélioration notable des conditions d'hospitalisation et de prise en charge des usagers de la structure», martèle le Sames qui n’a pas manqué de réaffirmer «sa volonté, plusieurs fois manifestée, d'assurer une stabilité optimale au secteur de la Santé et de l'Action Sociale. Hélas ! Cette stabilité reste compromise par les agressions répétées contre les intérêts des travailleurs et des usagers des services de santé».
Entre autres difficultés majeures, ils soutiennent qu’ils sont restés quatre mois sans recevoir leurs primes, soit une perte de 40% de leurs revenus mensuels pour les médecins spécialistes. «Le Ben exige de la tutelle une prise en charge diligente de cette question pour un règlement définitif, passant par l'amélioration notable des conditions d'hospitalisation et de prise en charge des usagers de la structure», martèle le Sames qui n’a pas manqué de réaffirmer «sa volonté, plusieurs fois manifestée, d'assurer une stabilité optimale au secteur de la Santé et de l'Action Sociale. Hélas ! Cette stabilité reste compromise par les agressions répétées contre les intérêts des travailleurs et des usagers des services de santé».