Chaque année, la route fait de nouvelles victimes. Les jeunes sont particulièrement concernés. La tranche d'âge la plus affectée par les accidents de circulation, est celle des 20 à 29 ans. Au Sénégal, les accidents de la circulation routière représentent 63,17% de tous les accidents. De manière constante, au cours des 5 dernières années, les accidents de la route ont surtout fait des victimes parmi les piétons et les automobilistes: «nos interventions de secours concernaient le plus des piétons et des motos renversés par un véhicule, ces deux catégories faisant au total 65 452 interventions. Ces deux catégories d’accidents font aussi le plus de victimes, avec 107 434 enregistrées de 2017 à 2020 », se désole l’Adjudant Abdoulaye Coly de la Brigade nationale des sapeurs-pompiers.
Parmi les causes majeures des accidents, figure en grande place le facteur humain, avec les excès de vitesse, la négligence, l’imprudence et le non-respect des règles du code de la route. Pour prévenir cela, l’Organisation mondiale de la Santé (Oms) a appuyé la formation de divers acteurs, dont les secouristes et les chauffeurs. En novembre et décembre 2021, ces activités étaient au nombre de 76 et comprenaient entre autres, des initiations aux gestes qui sauvent et des démonstrations du premier secours, des dotations de trousses de secours aux conducteurs, des causeries communautaires chez les usagers, la mobilisation sociale dans les établissements scolaires et le plaidoyer auprès des décideurs. Sur la même période, l’Oms a soutenu 11 formations qui ont eu lieu dans 3 départements de Dakar, Thiès et Diourbel, avec 660 participants. Elles portaient sur comment porter secours à une victime de la route, quels sont les gestes essentiels, et ceux à éviter pour sauver des vies.
En parallèle à ces activités, des séances de sensibilisation ont été organisées dans 22 écoles et 22 gares routières, atteignant plus de 300 personnes. Ces dernières années, une baisse a été constatée dans les accidents de la circulation, qui sont passés de 17.213 en 2019 à 16.373 en 2020.
Parmi les causes majeures des accidents, figure en grande place le facteur humain, avec les excès de vitesse, la négligence, l’imprudence et le non-respect des règles du code de la route. Pour prévenir cela, l’Organisation mondiale de la Santé (Oms) a appuyé la formation de divers acteurs, dont les secouristes et les chauffeurs. En novembre et décembre 2021, ces activités étaient au nombre de 76 et comprenaient entre autres, des initiations aux gestes qui sauvent et des démonstrations du premier secours, des dotations de trousses de secours aux conducteurs, des causeries communautaires chez les usagers, la mobilisation sociale dans les établissements scolaires et le plaidoyer auprès des décideurs. Sur la même période, l’Oms a soutenu 11 formations qui ont eu lieu dans 3 départements de Dakar, Thiès et Diourbel, avec 660 participants. Elles portaient sur comment porter secours à une victime de la route, quels sont les gestes essentiels, et ceux à éviter pour sauver des vies.
En parallèle à ces activités, des séances de sensibilisation ont été organisées dans 22 écoles et 22 gares routières, atteignant plus de 300 personnes. Ces dernières années, une baisse a été constatée dans les accidents de la circulation, qui sont passés de 17.213 en 2019 à 16.373 en 2020.