Face à la presse, samedi, Fatou Ndiaye, porte-parole du Collectif des résidents de ce quartier a expliqué que «les différents plans de morcellement remis aux acquéreurs ont vu disparaître tous les espaces publics initialement prévus (école, mosquée, jardin...) au profit de parcelles morcelées et commercialisées».
Les riverains ont par ailleurs expliqué que leurs «différentes correspondances adressées à la Maire de Ouakam, à la Sous-préfecture des Almadies, au Ministère de l’Urbanisme et du Cadre de Vie, à la Direction de l’Urbanisme, à la Descos…. n’ont pas permis de régler cet abus manifeste de notre promoteur».
Les riverains ont par ailleurs expliqué que leurs «différentes correspondances adressées à la Maire de Ouakam, à la Sous-préfecture des Almadies, au Ministère de l’Urbanisme et du Cadre de Vie, à la Direction de l’Urbanisme, à la Descos…. n’ont pas permis de régler cet abus manifeste de notre promoteur».