Par un arrêté interministériel, les frais d’inscription sont gratuits dans tous les établissements publics préscolaires et élémentaires et fixés à 3000 FCFA dans les établissements publics moyens et secondaires
Pour les écoles, ils peuvent être portés à 5000 FCFA au maximum sur décision du Conseil de gestion de l’établissement. À Tivaouane, précisément au lycée Ababacar Sy, cet arrêté interministériel n’a pas du tout été respecté lors du démarrage des inscriptions de l’année 2023 2024.
Quelques jours après les parents d’élèves se sont réunis pour exiger le proviseur dudit établissement d’appliquer la règle. Ils sont venus différents quartiers de la cité religieuse pour exiger l’arrêt des inscriptions à 10 000 FCFA.
Pour El Hadj Mansour Mané, parent d’élève, ceci n’est pas une affaire à prendre à la légère. Le jeune père de famille souligne que tous les établissements scolaires de Tivaouane ont respecté cette décision sauf lui.
«Le proviseur du lycée s’est toujours mal comporté avec les populations. Il avait fait pareil l’année dernière concernant les blouses scolaires. L’argent est encaissé sans suite. Il dit même que c’est lui qui a amené les tables-bancs au lycée. C’est archi-faux ! C’est l’œuvre d’une association de la ville», a-t-il dit.
M. Mané a informé avoir saisi le préfet par une correspondance, même s’il est pessimiste par rapport à sa requête. Mais aussi une autre lettre adressée à l’inspection d’académie et une plainte annoncée contre le proviseur pour «escroquerie».
Le proviseur du lycée Ababacar Sy de Tivaouane s’est défendu lors d’une assemblée générale organisée par les parents d’élèves le mercredi 1er novembre dernier. «C’est une situation déplorable qu’on aurait pu éviter», a-t-il déclaré au sortir de cette rencontre.
Bes Bi
Pour les écoles, ils peuvent être portés à 5000 FCFA au maximum sur décision du Conseil de gestion de l’établissement. À Tivaouane, précisément au lycée Ababacar Sy, cet arrêté interministériel n’a pas du tout été respecté lors du démarrage des inscriptions de l’année 2023 2024.
Quelques jours après les parents d’élèves se sont réunis pour exiger le proviseur dudit établissement d’appliquer la règle. Ils sont venus différents quartiers de la cité religieuse pour exiger l’arrêt des inscriptions à 10 000 FCFA.
Pour El Hadj Mansour Mané, parent d’élève, ceci n’est pas une affaire à prendre à la légère. Le jeune père de famille souligne que tous les établissements scolaires de Tivaouane ont respecté cette décision sauf lui.
«Le proviseur du lycée s’est toujours mal comporté avec les populations. Il avait fait pareil l’année dernière concernant les blouses scolaires. L’argent est encaissé sans suite. Il dit même que c’est lui qui a amené les tables-bancs au lycée. C’est archi-faux ! C’est l’œuvre d’une association de la ville», a-t-il dit.
M. Mané a informé avoir saisi le préfet par une correspondance, même s’il est pessimiste par rapport à sa requête. Mais aussi une autre lettre adressée à l’inspection d’académie et une plainte annoncée contre le proviseur pour «escroquerie».
Le proviseur du lycée Ababacar Sy de Tivaouane s’est défendu lors d’une assemblée générale organisée par les parents d’élèves le mercredi 1er novembre dernier. «C’est une situation déplorable qu’on aurait pu éviter», a-t-il déclaré au sortir de cette rencontre.
Bes Bi