Et, surtout, du lot de bijoux composé d’un collier et de boucles d’oreilles qu’elle lui a offert comme cadeau d’anniversaire. Interpelée par ses soins, l’enfant est passé à table. Ou, plus exactement, elle a prétendu dans un premier temps, que cet argent était le fruit de ses économies faites en se privant de goûters. Doutant de cette version, la maman se rapproche de l’établissement de sa fille, où on lui fait savoir que cette dernière avait l’habitude de remettre des présents à ses camarades de classe.
Pressée de questions, l’élève a alors avoué qu’elle était devenue le jouet sexuel de deux maniaques. En effet, ayant l’habitude de prendre le bus à l’arrêt du marché Dior, elle a été, au courant du mois de janvier dernier, abordée par deux vendeurs ambulants de chaussures.
« Lors de notre première rencontre, j’attendais le bus et j’avais duré à l’arrêt. C’est ainsi que les deux vendeurs m’ont suggéré de venir m’asseoir et me reposer. Ils m’ont convaincue de les suivre parce que j’avais des maux de tête ce jour-là », raconte la fillette, qui a été amenée quelques instants après, dans une chambre par l’un des commerçants.
« Le Témoin » poursuit qu’après l’avoir invitée à se coucher pour se reposer, le jeune homme a pu la convaincre d’entretenir des relations sexuelles avec l’élève, qu’il a menacée de représailles au cas où elle en parlerait à quelqu’un. Après l’acte sexuel, il a invité sa partenaire à prendre une douche. Et malgré les cris de la pauvre fillette, personne n’est venu la secourir. Pour cause, la maison où ont eu lieu les faits, était vide de ses occupants. Quant à l’autre vendeur, il a profité d’une autre occasion pour coucher avec la victime, avant de lui remettre 4 000 francs FCfa. Ayant pris goût au jeu, si on peut l’appeler ainsi, s’agissant d’une chose aussi grave, les deux vendeurs s’y sont mis à deux la troisième fois. Pendant qu’un des mis en cause était sur la fille, l’autre attendait qu’il termine.
Ayant été déguerpis des lieux, la victime n’a plus revu ses bourreaux. Et il a fallu la perspicacité de la maman pour que l’affaire soit connue. Elle a conduit sa fille à l’hôpital, ou la perte de l’hymen de cette dernière a été constatée.
Et selon toujours nos confrères, après l’enquête ouverte par la police des Parcelles Assainies, M. G., un des vendeurs, a vite été identifié pendant que son complice court toujours. Contre toute attente, face aux enquêteurs, le mis en cause a tout nié, soutenant que la fille l’a confondu avec une autre personne et ne pas s’appeler M. G. mais B. B.
Malgré ses dénégations, il a été arrêté et déféré au parquet, tandis que son complice Lamine est activement recherché.
Pressée de questions, l’élève a alors avoué qu’elle était devenue le jouet sexuel de deux maniaques. En effet, ayant l’habitude de prendre le bus à l’arrêt du marché Dior, elle a été, au courant du mois de janvier dernier, abordée par deux vendeurs ambulants de chaussures.
« Lors de notre première rencontre, j’attendais le bus et j’avais duré à l’arrêt. C’est ainsi que les deux vendeurs m’ont suggéré de venir m’asseoir et me reposer. Ils m’ont convaincue de les suivre parce que j’avais des maux de tête ce jour-là », raconte la fillette, qui a été amenée quelques instants après, dans une chambre par l’un des commerçants.
« Le Témoin » poursuit qu’après l’avoir invitée à se coucher pour se reposer, le jeune homme a pu la convaincre d’entretenir des relations sexuelles avec l’élève, qu’il a menacée de représailles au cas où elle en parlerait à quelqu’un. Après l’acte sexuel, il a invité sa partenaire à prendre une douche. Et malgré les cris de la pauvre fillette, personne n’est venu la secourir. Pour cause, la maison où ont eu lieu les faits, était vide de ses occupants. Quant à l’autre vendeur, il a profité d’une autre occasion pour coucher avec la victime, avant de lui remettre 4 000 francs FCfa. Ayant pris goût au jeu, si on peut l’appeler ainsi, s’agissant d’une chose aussi grave, les deux vendeurs s’y sont mis à deux la troisième fois. Pendant qu’un des mis en cause était sur la fille, l’autre attendait qu’il termine.
Ayant été déguerpis des lieux, la victime n’a plus revu ses bourreaux. Et il a fallu la perspicacité de la maman pour que l’affaire soit connue. Elle a conduit sa fille à l’hôpital, ou la perte de l’hymen de cette dernière a été constatée.
Et selon toujours nos confrères, après l’enquête ouverte par la police des Parcelles Assainies, M. G., un des vendeurs, a vite été identifié pendant que son complice court toujours. Contre toute attente, face aux enquêteurs, le mis en cause a tout nié, soutenant que la fille l’a confondu avec une autre personne et ne pas s’appeler M. G. mais B. B.
Malgré ses dénégations, il a été arrêté et déféré au parquet, tandis que son complice Lamine est activement recherché.