Devant la barre la dame C. Alméda a expliqué être une cliente du bijoutier, MBaye Thiam depuis 5 ans.
Cependant, lors de sa dernière commande de quatre bagues en or d'un montant de 895 mille francs, le sieur Thiam lui avait promis de lui faire les bijoux avec de l'or importé 24 carats. C'est après livraison, dit-elle, qu'elle a constaté à sa grande surprise que les bagues étaient du 18 carats.
« Au moment de lui faire la commande des bijoux, il était à Dubaï. C'est via Watshapp que je lui avais envoyé mes modèles. Mais, il m'a livré des bagues en or de 18 carats. Ce que je n'ai jamais acheté. Même ma cousine Léoni, propriétaire de l'une des bagues a eu la confirmation lorsqu'elle s'est rendue dans plusieurs bijouteries en France. Je lui ai demandé de reprendre ses bijoux et de me rembourser mon argent. Il a refusé », a narré la partie civile.
Interpelé à son tour, Mbaye Thiam, la quarantaine conteste vigoureusement les faits. « Cette dame ne m'a jamais commandé du 24 carats. La preuve au début, elle avait même dit que les bagues n'étaient pas de l'or. On est parti au service des mines et l'expertise a révélé le contraire. C'est après ça, qu'elle est revenue à la charge pour me dire qu'elle voulait du 24 carats. Or, qu'elle m'avait commandé du 18 carats », s'est défendu le prévenu.
Le représentant du Ministère public a requis le renvoi des fins de la poursuite. A l'en croire, le prévenu ne peut être poursuivi pour une quelconque infraction pénale. Etant donné que, dit-il, c'est une relation purement commerciale qui le lie avec la partie civile.
Même son cloche pour Me Ibrahima Thioub qui a plaidé la relaxe de son client.
L'affaire est mise en délibéré au 19 juillet prochain.
Kady FATY Leral
Cependant, lors de sa dernière commande de quatre bagues en or d'un montant de 895 mille francs, le sieur Thiam lui avait promis de lui faire les bijoux avec de l'or importé 24 carats. C'est après livraison, dit-elle, qu'elle a constaté à sa grande surprise que les bagues étaient du 18 carats.
« Au moment de lui faire la commande des bijoux, il était à Dubaï. C'est via Watshapp que je lui avais envoyé mes modèles. Mais, il m'a livré des bagues en or de 18 carats. Ce que je n'ai jamais acheté. Même ma cousine Léoni, propriétaire de l'une des bagues a eu la confirmation lorsqu'elle s'est rendue dans plusieurs bijouteries en France. Je lui ai demandé de reprendre ses bijoux et de me rembourser mon argent. Il a refusé », a narré la partie civile.
Interpelé à son tour, Mbaye Thiam, la quarantaine conteste vigoureusement les faits. « Cette dame ne m'a jamais commandé du 24 carats. La preuve au début, elle avait même dit que les bagues n'étaient pas de l'or. On est parti au service des mines et l'expertise a révélé le contraire. C'est après ça, qu'elle est revenue à la charge pour me dire qu'elle voulait du 24 carats. Or, qu'elle m'avait commandé du 18 carats », s'est défendu le prévenu.
Le représentant du Ministère public a requis le renvoi des fins de la poursuite. A l'en croire, le prévenu ne peut être poursuivi pour une quelconque infraction pénale. Etant donné que, dit-il, c'est une relation purement commerciale qui le lie avec la partie civile.
Même son cloche pour Me Ibrahima Thioub qui a plaidé la relaxe de son client.
L'affaire est mise en délibéré au 19 juillet prochain.
Kady FATY Leral