Qui en veut à Docteur Anta Sarr Diacko ? En tout cas dans une plainte contre X visant les délits d’insultes publiques, de diffamations et tutti quanti, la responsable de la délégation à la solidarité générale a actionné la brigade de lutte contre la cybercriminalité avec en attaché, une capture d’écran d’un article du site godakar relatant la passation de service de la nouvelle secrétaire générale de la structure sous sa tutelle.
Après plus de six heures passées dans les locaux de la cellule de lutte contre la cybercriminalité, logée à la direction générale de la police nationale, l’administrateur du site godakar a été entendu sous procès verbal suite à une plainte de la patronne de la Délégation générale à la protection sociale. Une plainte contre X a été formulée par Anta Sarr Diacko dénonçant des insultes et diffamations sur sa personne, avec en annexe jointe la prise d’écran du papier du site godakar relatant l’annulation de la passation de service de la nouvelle secrétaire générale Madame Amar, à la délégation nationale à la protection sociale . Le commissaire Mbengue en charge du dossier a jugé utile de convoquer le directeur de publication du site, aux fins d’ en savoir, sur l’information livrée mais aussi sur d’éventuelles complicités ayant diffamé ou insulté, sur les réseaux sociaux, la plaignante, par ailleurs ponte du parti au pouvoir. Face aux enquêteurs de la police nationale, le responsable du site à certifié de la véracité des faits après avoir expliqué, dans les détails, la situation cocasse qui a pris de court tout le personnel de la délégation générale. D’ailleurs, dans sa plainte, Docteur Anta Sarr loin de contester les faits, évoque pour s’en plaindre, le terme « abus d’autorité », ce qui justifie certainement la procédure de police instruite pour entendre, sur procès verbal, Samba Thiam, administrateur dudit site. Interrogé sur ses sources, le journaliste au nom de son reporter témoin des faits, a expliqué que le papier s’est arrêté à la relation des faits, estimant que le terme usité, « abus d’autorité » , était l’impression la plus partagée par les employés interrogés , qui ont soulevé aussi d’autres griefs, dont le traitement fait aux chauffeurs de la boite. D’ailleurs ne connaissant Docteur Diancko , ni d’Eve ni d’Eve, l’administrateur du site godakar dira son étonnement d’être entendu dans le dossier, expliquant que les auteurs des délits visés par la plaignante sont à chercher ailleurs, sur les réseaux sociaux par exemple ou dans son personnel, mais loin de la rigueur et du professionnalisme qui cimentent la ligne éditoriale du site d’informations godakar.
Après plus de six heures passées dans les locaux de la cellule de lutte contre la cybercriminalité, logée à la direction générale de la police nationale, l’administrateur du site godakar a été entendu sous procès verbal suite à une plainte de la patronne de la Délégation générale à la protection sociale. Une plainte contre X a été formulée par Anta Sarr Diacko dénonçant des insultes et diffamations sur sa personne, avec en annexe jointe la prise d’écran du papier du site godakar relatant l’annulation de la passation de service de la nouvelle secrétaire générale Madame Amar, à la délégation nationale à la protection sociale . Le commissaire Mbengue en charge du dossier a jugé utile de convoquer le directeur de publication du site, aux fins d’ en savoir, sur l’information livrée mais aussi sur d’éventuelles complicités ayant diffamé ou insulté, sur les réseaux sociaux, la plaignante, par ailleurs ponte du parti au pouvoir. Face aux enquêteurs de la police nationale, le responsable du site à certifié de la véracité des faits après avoir expliqué, dans les détails, la situation cocasse qui a pris de court tout le personnel de la délégation générale. D’ailleurs, dans sa plainte, Docteur Anta Sarr loin de contester les faits, évoque pour s’en plaindre, le terme « abus d’autorité », ce qui justifie certainement la procédure de police instruite pour entendre, sur procès verbal, Samba Thiam, administrateur dudit site. Interrogé sur ses sources, le journaliste au nom de son reporter témoin des faits, a expliqué que le papier s’est arrêté à la relation des faits, estimant que le terme usité, « abus d’autorité » , était l’impression la plus partagée par les employés interrogés , qui ont soulevé aussi d’autres griefs, dont le traitement fait aux chauffeurs de la boite. D’ailleurs ne connaissant Docteur Diancko , ni d’Eve ni d’Eve, l’administrateur du site godakar dira son étonnement d’être entendu dans le dossier, expliquant que les auteurs des délits visés par la plaignante sont à chercher ailleurs, sur les réseaux sociaux par exemple ou dans son personnel, mais loin de la rigueur et du professionnalisme qui cimentent la ligne éditoriale du site d’informations godakar.