Cadre Juridique et Administration
La DGPU a été créée par le décret n°2014-23 du 9 janvier 2014, sous la tutelle technique de la Présidence de la République et la tutelle financière du Ministère des Finances. Elle est chargée de l’aménagement et de la promotion des pôles urbains de Diamniadio et du Lac Rose. Le rapport indique que le Conseil d’Orientation de la DGPU, dont le mandat a expiré, souffre d’une composition obsolète et de dysfonctionnements dans l’exercice de ses attributions(Rapport-définitif-DGPU…).
Dysfonctionnements dans la Gestion des Ressources
Le rapport souligne de nombreuses lacunes dans la mobilisation et l’utilisation des ressources financières de la DGPU. Il y a des retards récurrents dans le vote et l’approbation des budgets, ainsi que des difficultés à mobiliser les subventions de l’État. De plus, le taux d’exécution des crédits d’investissements est jugé faible, tandis que les dépenses de fonctionnement ont considérablement augmenté(Rapport-définitif-DGPU…).
Problèmes de Gouvernance
Le rapport critique également l’efficacité des processus de fonctionnement au sein de la DGPU. Des affectations dans des services sans postes définis, une absence de communication et de partage d’informations entre les parties prenantes, et une réforme organisationnelle inadaptée et inachevée sont quelques-uns des problèmes relevés. De plus, le cumul incompatible des fonctions d’audit interne et de contrôle de gestion a conduit à une inertie de ces fonctions essentielles(Rapport-définitif-DGPU…).
Litiges et Relations avec les Acteurs Locaux
Le rapport met en évidence des litiges avec les acteurs communautaires et locaux, ce qui a entravé la célérité des travaux. La coordination entre les différentes parties prenantes est jugée insuffisante, avec un défaut de mise en place d’un cadre de concertation fonctionnel et inclusif par la DGPU. Cela a conduit à des retards dans la réalisation des travaux et à une faible adhésion des populations résidentes aux projets des pôles urbains(Rapport-définitif-DGPU…).
Le rapport de la Cour des Comptes sur la DGPU sous la gestion d’Abdoulaye Sylla révèle une série de dysfonctionnements et de lacunes graves qui ont entravé l’efficacité de cette entité stratégique. Malgré les ressources mobilisées et les ambitions affichées, les résultats obtenus sont loin des attentes, nécessitant des réformes profondes et une meilleure gouvernance pour redresser la situation.
La DGPU a été créée par le décret n°2014-23 du 9 janvier 2014, sous la tutelle technique de la Présidence de la République et la tutelle financière du Ministère des Finances. Elle est chargée de l’aménagement et de la promotion des pôles urbains de Diamniadio et du Lac Rose. Le rapport indique que le Conseil d’Orientation de la DGPU, dont le mandat a expiré, souffre d’une composition obsolète et de dysfonctionnements dans l’exercice de ses attributions(Rapport-définitif-DGPU…).
Dysfonctionnements dans la Gestion des Ressources
Le rapport souligne de nombreuses lacunes dans la mobilisation et l’utilisation des ressources financières de la DGPU. Il y a des retards récurrents dans le vote et l’approbation des budgets, ainsi que des difficultés à mobiliser les subventions de l’État. De plus, le taux d’exécution des crédits d’investissements est jugé faible, tandis que les dépenses de fonctionnement ont considérablement augmenté(Rapport-définitif-DGPU…).
Problèmes de Gouvernance
Le rapport critique également l’efficacité des processus de fonctionnement au sein de la DGPU. Des affectations dans des services sans postes définis, une absence de communication et de partage d’informations entre les parties prenantes, et une réforme organisationnelle inadaptée et inachevée sont quelques-uns des problèmes relevés. De plus, le cumul incompatible des fonctions d’audit interne et de contrôle de gestion a conduit à une inertie de ces fonctions essentielles(Rapport-définitif-DGPU…).
Litiges et Relations avec les Acteurs Locaux
Le rapport met en évidence des litiges avec les acteurs communautaires et locaux, ce qui a entravé la célérité des travaux. La coordination entre les différentes parties prenantes est jugée insuffisante, avec un défaut de mise en place d’un cadre de concertation fonctionnel et inclusif par la DGPU. Cela a conduit à des retards dans la réalisation des travaux et à une faible adhésion des populations résidentes aux projets des pôles urbains(Rapport-définitif-DGPU…).
Le rapport de la Cour des Comptes sur la DGPU sous la gestion d’Abdoulaye Sylla révèle une série de dysfonctionnements et de lacunes graves qui ont entravé l’efficacité de cette entité stratégique. Malgré les ressources mobilisées et les ambitions affichées, les résultats obtenus sont loin des attentes, nécessitant des réformes profondes et une meilleure gouvernance pour redresser la situation.