Les sorties musclées de certains députés de l’opposition, vendredi dernier à l’Assemblée nationale, n’ont pas plu à Abdoulaye Makhtar Diop. En marge de la conférence religieuse des femmes de Benno Bokk Yakaar, samedi, au Grand Théâtre, le député de la majorité a souhaité que le niveau du débat politique « soit beaucoup plus relevé ».
Il en appelle à l’aide de la presse pour y parvenir en mettant en avant sa ‘’capacité de discernement et de tamisage pour refuser d’être le relais de discours d’hommes politiques se réfugiant derrière des insanités’’.
Le grand Serigne de Dakar d’ajouter dans une longue allusion au député de PASTEF : « je suis étonné qu’on qualifie de députés du peuple ceux qui insultent. Lorsque qu’il y a eu le débat sur le pétrole, il n’y a eu que des insultes ».
Abdoulaye Makhtar Diop admet que la « presse est libre de critiquer le premier homme politique sénégalais, Macky Sall ». Mais il précise : « il ne faut pas idolâtrer des gens qui tiennent un discours en marge de nos valeurs de société, en porte-à-faux avec la stabilité et la paix de notre pays. Pour faire la vedette, il faut utiliser des propos scatologiques. Il y a pourtant de brillants opposants dans la classe politique sénégalaise ».
Quotidien
Il en appelle à l’aide de la presse pour y parvenir en mettant en avant sa ‘’capacité de discernement et de tamisage pour refuser d’être le relais de discours d’hommes politiques se réfugiant derrière des insanités’’.
Le grand Serigne de Dakar d’ajouter dans une longue allusion au député de PASTEF : « je suis étonné qu’on qualifie de députés du peuple ceux qui insultent. Lorsque qu’il y a eu le débat sur le pétrole, il n’y a eu que des insultes ».
Abdoulaye Makhtar Diop admet que la « presse est libre de critiquer le premier homme politique sénégalais, Macky Sall ». Mais il précise : « il ne faut pas idolâtrer des gens qui tiennent un discours en marge de nos valeurs de société, en porte-à-faux avec la stabilité et la paix de notre pays. Pour faire la vedette, il faut utiliser des propos scatologiques. Il y a pourtant de brillants opposants dans la classe politique sénégalaise ».
Quotidien