A cet effet, ce dernier s’est dit « outré » par les scènes de violence et s’est désolé de manière drastique des actes de destruction du Centre des Œuvres universitaire de Dakar (Coud).
Le jeune député évoque les multiples efforts du gouvernement avec un investissement de plusieurs milliards de FCfa pour relever le niveau d’études des étudiants. Ces investissements du Président de la République, Macky Sall, estime-t-il, ont changé radicalement le visage de l’Université Cheikh Anta Diop.
Le Coordonnateur du Meer regrette le fait que l’Université a de tout temps, connu des mouvements d’humeur depuis 1960. Mais, aucun des mouvements n’a atteint une dimension ou pris une tournure pareille. Avant c’était des cas isolés comme celui, ayant occasionné autrefois, la mort de Balla Gaye.
Souvent, c’était des étudiants blessés à travers des échanges de pierres et de grenades lacrymogènes. Mais, le Coud, les facultés et les bibliothèques n’avaient jamais, font les frais de la furie d’étudiants manifestants. Trouvant d’inadmissible, les destructions du Coud, du Centre des Sciences et techniques d’information, de la Facultés des Sciences juridiques, de la Faculté des lettres et Sciences Humaines et des Bibliothèques brûlées.
Les archives détruites constituent une grave perte de la mémoire de l’Université. Ces destructeurs, auteurs de ces scènes, visibles sur une vidéo ne semblent pas prendre conscience de la gravité de leurs actes.
Triibune
Le jeune député évoque les multiples efforts du gouvernement avec un investissement de plusieurs milliards de FCfa pour relever le niveau d’études des étudiants. Ces investissements du Président de la République, Macky Sall, estime-t-il, ont changé radicalement le visage de l’Université Cheikh Anta Diop.
Le Coordonnateur du Meer regrette le fait que l’Université a de tout temps, connu des mouvements d’humeur depuis 1960. Mais, aucun des mouvements n’a atteint une dimension ou pris une tournure pareille. Avant c’était des cas isolés comme celui, ayant occasionné autrefois, la mort de Balla Gaye.
Souvent, c’était des étudiants blessés à travers des échanges de pierres et de grenades lacrymogènes. Mais, le Coud, les facultés et les bibliothèques n’avaient jamais, font les frais de la furie d’étudiants manifestants. Trouvant d’inadmissible, les destructions du Coud, du Centre des Sciences et techniques d’information, de la Facultés des Sciences juridiques, de la Faculté des lettres et Sciences Humaines et des Bibliothèques brûlées.
Les archives détruites constituent une grave perte de la mémoire de l’Université. Ces destructeurs, auteurs de ces scènes, visibles sur une vidéo ne semblent pas prendre conscience de la gravité de leurs actes.
Triibune