VIPEOPLES.NET S'il y'a un signe particulier qu'on reconnait chez Abdou Diouf c'est sa grande taille. L'ancien Président de la République qui tutoie le double mètres 1 mètres 99 est l'un des hommes politiques qui impressionne le plus par sa silhouette. Ce qui fait qu'il n'échappe pas souvent aux chahuts de quelques uns de ses amis à l'instar d'un certain Jacques Chirac. «c’est lui qui me chahutait le plus. Il me dit toujours Abdou tu es trop grand, est-ce qu’on t’arrose tous les jours. Il me dit cela car on est très amis. D’ailleurs il est le parrain de ma plus jeune fille, Yacine, et ceci depuis l’époque où il était Premier ministre.»
Si Abdou Diouf déclare avoir perdu le complexe par rapport à sa taille, c’est bien à cause du président Léoplod Sédar Senghor. Pour lui, ce dernier y a joué un rôle primordial. Pour preuve, «lorsque j’étais son Premier ministre, je me m’étais toujours loin derrière parce qu’il était petit de taille, donc je ne voulais pas lui faire de l’ombre physiquement. Mais lui il se moquait royalement de cela. Il me disait toujours : «mais Abdou qu’est ce que tu fais derrière ? Vient ici à mes cotés». Mais il voyait que j’étais toujours le même donc il m’a adressé une lettre officielle un jour. Me disant : «Monsieur le Premier ministre, je constate qu’en dépit de mes instructions vous persistez à toujours vouloir être derrière. Vous êtes le chef du gouvernement de la République, donc vous devez être à coté du chef de l’Etat ». Donc j’étais obligé d’être à ses cotés le lendemain, et les autres jours», a-t-il fait savoir. Comme pour dire qu’entre ces deux il y’avait beaucoup humanité.
Si Abdou Diouf déclare avoir perdu le complexe par rapport à sa taille, c’est bien à cause du président Léoplod Sédar Senghor. Pour lui, ce dernier y a joué un rôle primordial. Pour preuve, «lorsque j’étais son Premier ministre, je me m’étais toujours loin derrière parce qu’il était petit de taille, donc je ne voulais pas lui faire de l’ombre physiquement. Mais lui il se moquait royalement de cela. Il me disait toujours : «mais Abdou qu’est ce que tu fais derrière ? Vient ici à mes cotés». Mais il voyait que j’étais toujours le même donc il m’a adressé une lettre officielle un jour. Me disant : «Monsieur le Premier ministre, je constate qu’en dépit de mes instructions vous persistez à toujours vouloir être derrière. Vous êtes le chef du gouvernement de la République, donc vous devez être à coté du chef de l’Etat ». Donc j’étais obligé d’être à ses cotés le lendemain, et les autres jours», a-t-il fait savoir. Comme pour dire qu’entre ces deux il y’avait beaucoup humanité.