L’alerte est sonnée. Certains Sénégalais ignorent les dangers liés à la consommation de viandes issues de circuits clandestins et vendues sur le marché.
A ce propos les travailleurs de la Société de gestion des Abattoirs du Sénégal (Sogas ex Seras) ont jugé nécessaire de tirer la sonnette d’alarme.
Statistiques fiables à l’appui, Mamadou Talla, chef de service administratif du personnel de la Sogas a averti contre l’abattage clandestin qui s’effectue au mépris des règles d’hygiène les plus élémentaires.
Dans le journal L’0servateur, il indique que «sur 500 bovins consommés quotidiennement dans la seule région de Dakar, seuls 250 proviennent des abattoirs de la Sogas. De même, sur un total de 3000 petits ruminants consommés chaque jour par les ménages dans la seule région de Dakar, seuls 1500 sont régulièrement abattus à la Sogas», informe-t-il.
Aussi demande t-il, que soit élevée au rang de priorité nationale, la traque des auteurs d’abattages clandestins dont les actes ne sont pas sans conséquence sur la santé des consommateurs.
A ce propos les travailleurs de la Société de gestion des Abattoirs du Sénégal (Sogas ex Seras) ont jugé nécessaire de tirer la sonnette d’alarme.
Statistiques fiables à l’appui, Mamadou Talla, chef de service administratif du personnel de la Sogas a averti contre l’abattage clandestin qui s’effectue au mépris des règles d’hygiène les plus élémentaires.
Dans le journal L’0servateur, il indique que «sur 500 bovins consommés quotidiennement dans la seule région de Dakar, seuls 250 proviennent des abattoirs de la Sogas. De même, sur un total de 3000 petits ruminants consommés chaque jour par les ménages dans la seule région de Dakar, seuls 1500 sont régulièrement abattus à la Sogas», informe-t-il.
Aussi demande t-il, que soit élevée au rang de priorité nationale, la traque des auteurs d’abattages clandestins dont les actes ne sont pas sans conséquence sur la santé des consommateurs.