Le représentant du ministère public a révélé que le mis en cause s'est fait passer pour un agent commercial. Il faisait croire aux commerçants qu'il détenait un riche carnet d'adresses qui compte des clients potentiels. C'est ainsi qu'il a pu leur soutirer d'importantes quantités de marchandises. A la barre, Hussein Abdel Redah a reconnu les faits à lui reprochés. Mais, il s'est empressé de se justifier : "Oui, c'est vrai, c'est moi-même qui ai pris leurs marchandises pour les revendre après. J'ai fait tout cela dans le seul souci d'assister ma famille. J'étais dans de sales draps raison pour laquelle je me suis adonné à l'escroquerie. Toute ma famille m'a abandonné parce que je me suis marié à une Togolaise. Mais, je compte leur payer tout avec un peu de temps".
Pour les parties civiles, renseigne le journal, seule Amaria s'est présentée. Elle est revenue, devant le juge, sur les faits. "Quand il est venu dans mon magasin, il m'a fait croire qu'il est un agent commercial, qu'il pouvait me procurer de gros clients. C'est par la suite qu'il m'a demandé quelques échantillons. Je lui ai remis 53 matelas, 37 écrans plats et beaucoup de clé USB, le tout d'une valeur de 2 065 000 FCfa. Après ça, il a disparu. Mes amis commerçants et moi avons ouvert une enquête au cours de laquelle nous avons découvert qu'il a été dans beaucoup de pays africains. Mais on a fini par le retrouver et le traduire en justice", a-t-elle narré. La plaignante d'indiquer ne rien vouloir d'autre que retrouver son dû. "Je ne vieux d'autre, je veux juste qu'il me donne mes 2 065 000 FCfa. J'avais pris cette marchandise et je dois la payer", a-t-elle dit.
Dans son réquisitoire, le maître des poursuites a jugé de la constance des faits. Il a aussi ajouté au délit d'escroquerie, le délit d'abus de confiance. Par conséquent, il a requis une peine d'emprisonnement d'un an ferme. Pour sa part, l'avocat de la défense, qui a reconnu la gravité des faits, a tout de même plaidé la clémence. Selon lui, son client est victime du rejet de sa famille à cause de son union avec une Africaine. Le juge du tribunal des flagrant délit a finalement condamné Hussein Abdel Redah à un an de prison dont 6 mois ferme.
Pour les parties civiles, renseigne le journal, seule Amaria s'est présentée. Elle est revenue, devant le juge, sur les faits. "Quand il est venu dans mon magasin, il m'a fait croire qu'il est un agent commercial, qu'il pouvait me procurer de gros clients. C'est par la suite qu'il m'a demandé quelques échantillons. Je lui ai remis 53 matelas, 37 écrans plats et beaucoup de clé USB, le tout d'une valeur de 2 065 000 FCfa. Après ça, il a disparu. Mes amis commerçants et moi avons ouvert une enquête au cours de laquelle nous avons découvert qu'il a été dans beaucoup de pays africains. Mais on a fini par le retrouver et le traduire en justice", a-t-elle narré. La plaignante d'indiquer ne rien vouloir d'autre que retrouver son dû. "Je ne vieux d'autre, je veux juste qu'il me donne mes 2 065 000 FCfa. J'avais pris cette marchandise et je dois la payer", a-t-elle dit.
Dans son réquisitoire, le maître des poursuites a jugé de la constance des faits. Il a aussi ajouté au délit d'escroquerie, le délit d'abus de confiance. Par conséquent, il a requis une peine d'emprisonnement d'un an ferme. Pour sa part, l'avocat de la défense, qui a reconnu la gravité des faits, a tout de même plaidé la clémence. Selon lui, son client est victime du rejet de sa famille à cause de son union avec une Africaine. Le juge du tribunal des flagrant délit a finalement condamné Hussein Abdel Redah à un an de prison dont 6 mois ferme.