Entre l’international de football et Ndèye Ndella Fall, la lune de miel s’est vite transformée en lune de fuel. Mariés en grande pompe en 2001, le couple a fini par divorcer en 2003. De cette union est né un garçon. Et, le tribunal de Nanterre (France) a prononcé le divorce par consentement mutuel. Le juge avait fixé la pension alimentaire à 271 euros. Mais, l’international sénégalais avait jugé cette somme dérisoire et avait décidé de lui octroyer 1500 euros de pension alimentaire afin de permettre à son ex de vivre décemment en Europe. Une décision qu'il n'aurait jamais respecté. En effet, depuis 51 mois, la dame court derrière le versement de sa pension alimentaire en vain. Lasse de promesses non tenues, Ndèye Ndella Fall a décidé de poursuivre son ex-mari pour le délit d’abandon de famille. A la barre, le prévenu a soutenu avoir régulièrement versé la pension alimentaire mais, c’est lorsque Ndèye Ndella Fall a décidé unilatéralement de rentrer au Sénégal sans l’avertir qu’il n’a plus versé la dite somme.
Selon Amdy Moustapha Faye, il ne savait pas où Ndèye Ndella Fall habitait, d’autant qu’elle changeait régulièrement de domicile. La présidente du tribunal expliquera au footballeur que la connaissance de son domicile ne peut pas l'exonérer du versement de la pension alimentaire. Pour Me Bousso de la partie civile, depuis le retour de la dame au Sénégal, Amdy Moustapha Faye refuse de lui verser sa pension alimentaire. « Depuis le 29 mai 2013, son ex-femme n’a plus reçu de l’argent. Son fils est exclu de l’école française où il était inscrit alors que son Papa a les moyens de lui payer la scolarité. Amdy Moustapha Faye ne se soucie guère des problèmes que rencontre son enfant », s’est exclamé Me Bousso avant de solliciter du tribunal l’application de l’article 51 du code pénal.
Le procureur s'est rapporté à la sagesse du tribunal.
La défense n’a pas pu cacher son étonnement. Selon Me Barro, son client a toujours respecté les termes du contrat avec son épouse. « Elle est retourné au Sénégal de son propre gré sans en faire part à son ex-mari. Il y a eu un accord entre eux lequel faisant état que, si l’enfant atteindrait l’âge de huit ans, mon client prendrait son enfant en charge. Depuis 2013, mon client a la garde de l’enfant. Et nous poursuivrons la partie civile pour le délit d’enlèvement », a-t-il dit. Selon toujours Me Barro, Ndèye Ndella Fall veut prendre l’enfant pour faire chanter son client et s’enrichir sur son dos. « C’est à cause de son attitude que mon client ne peut plus payer de pension. Il a toujours pris soin de son enfant et de sa femme », a martelé l’avocat.
Le tribunal a renvoyé le délibéré de l'affaire au 24 mai prochain.
Selon Amdy Moustapha Faye, il ne savait pas où Ndèye Ndella Fall habitait, d’autant qu’elle changeait régulièrement de domicile. La présidente du tribunal expliquera au footballeur que la connaissance de son domicile ne peut pas l'exonérer du versement de la pension alimentaire. Pour Me Bousso de la partie civile, depuis le retour de la dame au Sénégal, Amdy Moustapha Faye refuse de lui verser sa pension alimentaire. « Depuis le 29 mai 2013, son ex-femme n’a plus reçu de l’argent. Son fils est exclu de l’école française où il était inscrit alors que son Papa a les moyens de lui payer la scolarité. Amdy Moustapha Faye ne se soucie guère des problèmes que rencontre son enfant », s’est exclamé Me Bousso avant de solliciter du tribunal l’application de l’article 51 du code pénal.
Le procureur s'est rapporté à la sagesse du tribunal.
La défense n’a pas pu cacher son étonnement. Selon Me Barro, son client a toujours respecté les termes du contrat avec son épouse. « Elle est retourné au Sénégal de son propre gré sans en faire part à son ex-mari. Il y a eu un accord entre eux lequel faisant état que, si l’enfant atteindrait l’âge de huit ans, mon client prendrait son enfant en charge. Depuis 2013, mon client a la garde de l’enfant. Et nous poursuivrons la partie civile pour le délit d’enlèvement », a-t-il dit. Selon toujours Me Barro, Ndèye Ndella Fall veut prendre l’enfant pour faire chanter son client et s’enrichir sur son dos. « C’est à cause de son attitude que mon client ne peut plus payer de pension. Il a toujours pris soin de son enfant et de sa femme », a martelé l’avocat.
Le tribunal a renvoyé le délibéré de l'affaire au 24 mai prochain.