Ménagère de son état, L. Faye n’a pas été gâtée par la vie. Joignant difficilement les deux bouts, elle a eu la malchance de tomber sur un homme qui lui fait croire monts et merveilles, avant de l’engrosser. Une grossesse qu’elle a gérée seule et qu’elle a maintenue jusqu’au bout. Au moment de la délivrance, elle a avisé sa sœur. Mais au lieu d’aller accoucher à l’hôpital, elle a préféré le faire à domicile dans la journée du 17 février dernier.
Ayant mis au monde un bébé de sexe masculin, la femme de ménage, qui avait sans doute bien planifié son plan durant sa grossesse, n’a pas attendu le lendemain pour prendre une décision sur le sort de son nouveau-né.
En effet, c’est le même jour qu’elle s’est débarrassée de son bébé en se rendant à la pouponnière de la Médina pour y abandonner son nouveau-né. Sur place, elle a fait part de ses problèmes familiaux et de la situation de précarité dans laquelle elle était et qui l’obligeait de se séparer de l’enfant. Et comme d’habitude, les responsables de la pouponnière des Sœurs franciscaines de la Médina lui ont exposé la procédure à suivre pour la garde d’enfant.
Ayant pris connaissance de tout cela, elle a donné son accord pour la prise en charge de son bébé. «Je suis consciente de ma décision, il s’agit d’un choix difficile que j’ai dû prendre dans l’intérêt de l’enfant», a regretté la jeune dame.
Et une fois devant les enquêteurs du commissariat de la Médina, elle a confié que le bébé est le fruit d’une relation qu’elle entretenait avec un certain P. Ndiaye. Mais ce dernier qui avait été informé de sa grossesse, dès les premières semaines, avait refusé d’en assumer la paternité. Mieux, il avait disparu dans la nature et est jusque-là introuvable. Rapporte Vipeoples .
Ayant mis au monde un bébé de sexe masculin, la femme de ménage, qui avait sans doute bien planifié son plan durant sa grossesse, n’a pas attendu le lendemain pour prendre une décision sur le sort de son nouveau-né.
En effet, c’est le même jour qu’elle s’est débarrassée de son bébé en se rendant à la pouponnière de la Médina pour y abandonner son nouveau-né. Sur place, elle a fait part de ses problèmes familiaux et de la situation de précarité dans laquelle elle était et qui l’obligeait de se séparer de l’enfant. Et comme d’habitude, les responsables de la pouponnière des Sœurs franciscaines de la Médina lui ont exposé la procédure à suivre pour la garde d’enfant.
Ayant pris connaissance de tout cela, elle a donné son accord pour la prise en charge de son bébé. «Je suis consciente de ma décision, il s’agit d’un choix difficile que j’ai dû prendre dans l’intérêt de l’enfant», a regretté la jeune dame.
Et une fois devant les enquêteurs du commissariat de la Médina, elle a confié que le bébé est le fruit d’une relation qu’elle entretenait avec un certain P. Ndiaye. Mais ce dernier qui avait été informé de sa grossesse, dès les premières semaines, avait refusé d’en assumer la paternité. Mieux, il avait disparu dans la nature et est jusque-là introuvable. Rapporte Vipeoples .