ILS ONT PROCÉDÉ à l'arrestation du PRODUCTEUR du célèbre film porno' CIRQUE NOIR, qui avait outré l'opinion publique sénégalaise. Ne s'arrêtant pas en si bon chemin, ils viennent également de mettre aux arrêts le SCÉNARISTE ainsi que dix ACTEURS de cette production, qui aura suscité des vagues d'indignations, depuis que sa scandaleuse bande-annonce a investi les réseaux sociaux.
JAMRA et ses alliés du CDVM et de l'Ong DQWI FÉLICITENT vivement le Commissaire Aly Kandé de la Division Spéciale de Cybersécurité, ainsi que son équipe, pour leur diligence, leur professionnalisme et leur patriotisme.
LES MIS-EN-CAUSE seront présentés ce mercredi 18 août au maître des poursuites, le Procureur de la République, qui a la haute main sur les textes de loi sensées protéger nos valeurs sociétales, ainsi que la santé mentale et morale des enfants.
EN VERTU de la loi 2006-04 du 04 janvier 2006, portant création du CNRA, le champs de compétence du "gendarme de l'audiovisuel" n'étant pas (encore) étendu aux plateformes électroniques de communication et de diffusion comme YouTube, Facebook, Instagram..., c'est donc le Procureur de la République qui va entrer en action.
Pour VIOLATION de la loi numéro 2008-11 du 25 janvier 2008, relative à la DIFFUSION D'IMAGES CONTRAIRES AUX BONNES MŒURS (article 2). Laquelle renforce les dispositions du Code pénal qui, en son article 431-60 bannit l'utilisation de "tout moyen de communication électronique, aux fins :
- D'AFFICHER,
- D'EXPOSER,
- DE PROJETTER AUX REGARDS DU PUBLIC tous imprimés, photographies, films ou images CONTRAIRES AUX BONNES MŒURS". Confirmant ainsi les dispositions pérennes du Code pénal sur l'attentat à la pudeur et l'outrage PUBLIC aux bonnes mœurs (articles 318 et 324).
LE COMBAT CONTINUE, pour la préservation de nos valeurs socio-culturelles et la sauvegarde de la santé mentale et morale des enfants.
(JAMRA).
JAMRA et ses alliés du CDVM et de l'Ong DQWI FÉLICITENT vivement le Commissaire Aly Kandé de la Division Spéciale de Cybersécurité, ainsi que son équipe, pour leur diligence, leur professionnalisme et leur patriotisme.
LES MIS-EN-CAUSE seront présentés ce mercredi 18 août au maître des poursuites, le Procureur de la République, qui a la haute main sur les textes de loi sensées protéger nos valeurs sociétales, ainsi que la santé mentale et morale des enfants.
EN VERTU de la loi 2006-04 du 04 janvier 2006, portant création du CNRA, le champs de compétence du "gendarme de l'audiovisuel" n'étant pas (encore) étendu aux plateformes électroniques de communication et de diffusion comme YouTube, Facebook, Instagram..., c'est donc le Procureur de la République qui va entrer en action.
Pour VIOLATION de la loi numéro 2008-11 du 25 janvier 2008, relative à la DIFFUSION D'IMAGES CONTRAIRES AUX BONNES MŒURS (article 2). Laquelle renforce les dispositions du Code pénal qui, en son article 431-60 bannit l'utilisation de "tout moyen de communication électronique, aux fins :
- D'AFFICHER,
- D'EXPOSER,
- DE PROJETTER AUX REGARDS DU PUBLIC tous imprimés, photographies, films ou images CONTRAIRES AUX BONNES MŒURS". Confirmant ainsi les dispositions pérennes du Code pénal sur l'attentat à la pudeur et l'outrage PUBLIC aux bonnes mœurs (articles 318 et 324).
LE COMBAT CONTINUE, pour la préservation de nos valeurs socio-culturelles et la sauvegarde de la santé mentale et morale des enfants.
(JAMRA).