Employé dans une boutique de multiservices à la Medina, Bassirou Diallo a failli passer de vie à trépas.
Adepte des soirées aux Almadies, B. D., âgé de 25 ans, avait fini par y rencontrer et sympathiser avec un groupe d'homosexuels. Une proximité qui a fini par détruire sa vie, lorsqu'il a refusé les avances de certains d’entre eux.
«Je les rencontrais régulièrement aux Almadies pendant les soirées (de ce jeune chanteur), je ne les ai pas rejetés et j’échangeais souvent avec eux, mais jamais je ne les ai fréquentés. Puis un jour, quelqu’un parmi eux m’a fait des avances au cours d’une soirée. Ce que j’ai rejeté poliment», raconte B. D.
Selon lui, ce niet catégorique va être à l’origine de tous ses déboires. Il confie : «Ma rencontre et ma proximité avec ces homosexuels ont détruit ma vie».
Cela a commencé d’abord par des moqueries suivies peu après par des menaces de mort. Des menaces qu’il n’avait pas prises au sérieux, malgré les craintes de sa mère qui lui avait conseillé d’alerter la police.
Selon L'Observateur, son refus d’alerter la police a, sans doute, été une grande erreur pour B. D. qui, aujourd’hui, reste cloué sur un lit à son domicile à Pikine-Dagoudane.
En représailles, par deux fois, un véhicule 4X4 a tenté de le tuer, en le pourchassant, pour ensuite le heurter violemment.
La dernière fois, B. D. s'est retrouvé avec une fracture du bassin. Et jusque-là, le conducteur du véhicule 4x4, en fuite, n'a pas été identifié, malgré une enquête ouverte par la police.
Adepte des soirées aux Almadies, B. D., âgé de 25 ans, avait fini par y rencontrer et sympathiser avec un groupe d'homosexuels. Une proximité qui a fini par détruire sa vie, lorsqu'il a refusé les avances de certains d’entre eux.
«Je les rencontrais régulièrement aux Almadies pendant les soirées (de ce jeune chanteur), je ne les ai pas rejetés et j’échangeais souvent avec eux, mais jamais je ne les ai fréquentés. Puis un jour, quelqu’un parmi eux m’a fait des avances au cours d’une soirée. Ce que j’ai rejeté poliment», raconte B. D.
Selon lui, ce niet catégorique va être à l’origine de tous ses déboires. Il confie : «Ma rencontre et ma proximité avec ces homosexuels ont détruit ma vie».
Cela a commencé d’abord par des moqueries suivies peu après par des menaces de mort. Des menaces qu’il n’avait pas prises au sérieux, malgré les craintes de sa mère qui lui avait conseillé d’alerter la police.
Selon L'Observateur, son refus d’alerter la police a, sans doute, été une grande erreur pour B. D. qui, aujourd’hui, reste cloué sur un lit à son domicile à Pikine-Dagoudane.
En représailles, par deux fois, un véhicule 4X4 a tenté de le tuer, en le pourchassant, pour ensuite le heurter violemment.
La dernière fois, B. D. s'est retrouvé avec une fracture du bassin. Et jusque-là, le conducteur du véhicule 4x4, en fuite, n'a pas été identifié, malgré une enquête ouverte par la police.