Dernièrement, rappelle le collectif, «la gendarmerie de Ngor a mis la main sur une quarantaine de personnes qui faisait la fête dans un de ces restaurants et dont certains possédaient de la drogue ». Même si le collectif s’en félicite, «il n’en demeure pas moins que son insatisfaction demeure entière. Tous les jours, ces bars sont remplis de monde avec une pollution sonore, qui indispose tous les riverains. Beaucoup de ces riverains ont saisi la gendarmerie, mais aussi la préfecture, la sous-préfecture, la mairie et même le gouverneur, sans que le problème ne soit résolu », selon le communiqué reçu par Libération online.
Par ailleurs, «le collectif attire l’attention des autorités que, malgré le couvre-feu, les habitués des lieux viennent un peu plutôt et en grand nombre, alors que les rassemblements sont interdits en cette période de pandémie ». Il exige ainsi de l’Etat «la fermeture de ces lieux, car restaurant ou non, les rassemblements sont interdits principalement dans les bars et café » ; «l’arrêt de la débauche qui s'étale en plein jour sur les lieux » et «l’arrêt par la gendarmerie, de ces rassemblements quotidiens ».
Le gérant de Comos qui est un jeune de la banlieue Parisienne déclare que les forces de l'ordre sont c'est ses ''amis''.
Le collectif prend enfin « à témoin l’opinion et se réserve le droit d’user d’autres voies pour se faire entendre afin de mettre un terme à cette anarchie ».
Par ailleurs, «le collectif attire l’attention des autorités que, malgré le couvre-feu, les habitués des lieux viennent un peu plutôt et en grand nombre, alors que les rassemblements sont interdits en cette période de pandémie ». Il exige ainsi de l’Etat «la fermeture de ces lieux, car restaurant ou non, les rassemblements sont interdits principalement dans les bars et café » ; «l’arrêt de la débauche qui s'étale en plein jour sur les lieux » et «l’arrêt par la gendarmerie, de ces rassemblements quotidiens ».
Le gérant de Comos qui est un jeune de la banlieue Parisienne déclare que les forces de l'ordre sont c'est ses ''amis''.
Le collectif prend enfin « à témoin l’opinion et se réserve le droit d’user d’autres voies pour se faire entendre afin de mettre un terme à cette anarchie ».