Brocardé par les initiateurs de la campagne «gnoul kouk» par opposition à la campagne «Khéss Pétch» qui fait la promotion de la dépigmentation, Aïssatou Diop Fall est montée au créneau pour apporter la réplique.
«Les promoteurs de la contre campagne m’ont brocardée en disant que j’étais un anti-modèle et que j’avais ma part de responsabilité dans ma part du «xessal» (dépigmentation). J’ai cru halluciner et cela m’a particulièrement irritée. Chacun connaît ma liberté de penser, je ne suis pas quelqu’un d’influençable. Cela peut paraître impoli, mais cela ne me fait ni chaud ni froid de plaire ou de déplaire. Tout ce qui me préoccupe, c’est avant tout ma propre personne, savoir si ce que je fais me va ou pas. Lorsque je faisais mes rastas pendant plus de 10 ans, je n’avais demandé la permission à personne. Mon look ne regarde personne, il s’agit de mon indépendance. J’ai expliqué pourquoi j’ai choisi de me dépigmenter la peau et je n’en ai pas honte. Personne ne me donne de l’argent pour que j’aille acheter des produits éclaircissants. Ce sont avec mes propres revenus que je gagne à la sueur de mon front que je me paie mes produits éclaircissants. Je sais qu’il y a des gens qui me préfèrent maintenant à avant et cela me fait plaisir, naturellement», déclare Aïssatou Diop Fall dans l’Obs.
Sa peau, dit-elle, lui appartient. «Si j’ai envie de la gâter, c’est mon problème. Je suis consciente de ce que je fais et je crois être assez intellectuelle pour ne pas m’investir dans n’importe quoi. La preuve, il ne se passe pas un jour sans que des femmes ne m’appellent pour me demander le nom des produits de beauté que j’utilise. Je suis désolée de le dire, mais les produits que j’applique sur ma peau ne sont pas du bas de gamme. Je tiens par-dessus tout à ma santé. J’ai un «xessal» uniformisé et je n’ai rien à voir avec celles qui utilisent des produits qui coûtent 500 F Cfa. Je me donne les moyens de ma politique. Il y a quelque part comme de la jalousie dans l’air», dit-elle.
«Les promoteurs de la contre campagne m’ont brocardée en disant que j’étais un anti-modèle et que j’avais ma part de responsabilité dans ma part du «xessal» (dépigmentation). J’ai cru halluciner et cela m’a particulièrement irritée. Chacun connaît ma liberté de penser, je ne suis pas quelqu’un d’influençable. Cela peut paraître impoli, mais cela ne me fait ni chaud ni froid de plaire ou de déplaire. Tout ce qui me préoccupe, c’est avant tout ma propre personne, savoir si ce que je fais me va ou pas. Lorsque je faisais mes rastas pendant plus de 10 ans, je n’avais demandé la permission à personne. Mon look ne regarde personne, il s’agit de mon indépendance. J’ai expliqué pourquoi j’ai choisi de me dépigmenter la peau et je n’en ai pas honte. Personne ne me donne de l’argent pour que j’aille acheter des produits éclaircissants. Ce sont avec mes propres revenus que je gagne à la sueur de mon front que je me paie mes produits éclaircissants. Je sais qu’il y a des gens qui me préfèrent maintenant à avant et cela me fait plaisir, naturellement», déclare Aïssatou Diop Fall dans l’Obs.
Sa peau, dit-elle, lui appartient. «Si j’ai envie de la gâter, c’est mon problème. Je suis consciente de ce que je fais et je crois être assez intellectuelle pour ne pas m’investir dans n’importe quoi. La preuve, il ne se passe pas un jour sans que des femmes ne m’appellent pour me demander le nom des produits de beauté que j’utilise. Je suis désolée de le dire, mais les produits que j’applique sur ma peau ne sont pas du bas de gamme. Je tiens par-dessus tout à ma santé. J’ai un «xessal» uniformisé et je n’ai rien à voir avec celles qui utilisent des produits qui coûtent 500 F Cfa. Je me donne les moyens de ma politique. Il y a quelque part comme de la jalousie dans l’air», dit-elle.