Dans un contexte particulièrement marqué par de nombreux conflits et crises qui menacent la paix et la sécurité dans l’espace sous régional Ouest africaine, l’Amp-Uemoa s’est réunie à Dakar pour son Assemblée générale qui sera suivi d’un séminaire de formation. La cérémonie d’ouverture de ce rendez-vous des médiateurs de l’Uemao a vu la participation des autorités administratives, religieuses, et coutumières.
Dès l’entame de la cérémonie, une minute de silence a été observée en mémoire des victimes de l’attentat de Ouagadougou qui, selon Alioune Badara Cissé, est la ville de naissance de l’Amp-Uemoa. Pour le Médiateur de la République, le thème de cette assemblée générale est très actuel. « En effet, nos travaux se tiennent dans un contexte particulier marqué par des agressions récurrentes à la paix et à la sécurité de nos concitoyens. Cette rencontre est une occasion unique pour consolider la collaboration entre les médiateurs de nos pays respectifs et harmoniser nos outils et méthodes de travail », a déclaré M. Cissé. Avec la menace terroriste qui plane sur le continent, Alioune Badara Cissé soutient que le médiateur, de façon évidente, peut participer à la lutte contre ce fléau, en intervenant à la plus basse échelle pour annihiler et dissiper les litiges avant qu’ils ne prospèrent et deviennent « crisogènes ».
Le président de l’Amp-Uemoa, N’Golo Coulibaly, a, pour sa part, souligné que, face aux nombreux conflits et crises qui plombent l’Afrique, les médiateurs sont de plus en plus interpellés pour régler les conflits politiques, mais aussi entre le privé et le public pour instaurer un climat social apaisé et durable. « Face à la persistance des conflits en Afrique, il nous faut agir ensemble. La médiation comme voie privilégiée est une nécessité pour l’Etat de droit dans nos pays », rassure-t-il.
Dès l’entame de la cérémonie, une minute de silence a été observée en mémoire des victimes de l’attentat de Ouagadougou qui, selon Alioune Badara Cissé, est la ville de naissance de l’Amp-Uemoa. Pour le Médiateur de la République, le thème de cette assemblée générale est très actuel. « En effet, nos travaux se tiennent dans un contexte particulier marqué par des agressions récurrentes à la paix et à la sécurité de nos concitoyens. Cette rencontre est une occasion unique pour consolider la collaboration entre les médiateurs de nos pays respectifs et harmoniser nos outils et méthodes de travail », a déclaré M. Cissé. Avec la menace terroriste qui plane sur le continent, Alioune Badara Cissé soutient que le médiateur, de façon évidente, peut participer à la lutte contre ce fléau, en intervenant à la plus basse échelle pour annihiler et dissiper les litiges avant qu’ils ne prospèrent et deviennent « crisogènes ».
Le président de l’Amp-Uemoa, N’Golo Coulibaly, a, pour sa part, souligné que, face aux nombreux conflits et crises qui plombent l’Afrique, les médiateurs sont de plus en plus interpellés pour régler les conflits politiques, mais aussi entre le privé et le public pour instaurer un climat social apaisé et durable. « Face à la persistance des conflits en Afrique, il nous faut agir ensemble. La médiation comme voie privilégiée est une nécessité pour l’Etat de droit dans nos pays », rassure-t-il.