Jusque-là , on ne connaissait que des embarcations de fortune où s’entassent des centaines de candidats au voyage « Barça ou Barsakh » venant de différentes contrées. Pour lever l’ancre vers les routes migratoires, chaque passager s’acquitte d’une somme allant de 200.000 à 500.000 FCfa en guise contribution pour le financement de l’odyssée. Aujourd’hui, le phénomène a pris une autre proportion inquiétante, au point de devenir une affaire de famille voire de défis familiaux.
En effet, il nous est revenu que des familles entières organisent discrètement des voyages « particuliers » à bord de leurs propres pirogues, sortes de « yachts » privés, pour tenter de rallier les iles Canaries espagnoles. La preuve par Cayar, Mbour, Thiaroye, où l’on apprend les départs de familles entières regroupant plusieurs membres, y compris des bébés, neveux et petits-fils. Certains sont arrivés sains et saufs sur l’archipel espagnol, d’autres sont portés disparus.
Attention ! « Le Témoin » vous informe qu’en cette période, les conditions météorologiques ne sont plus favorables aux voyages à cause des vagues de froid glacial, des ouragans et des fortes averses qui s’abattent sur l’Atlantique et la Méditerranée. Donc, tout départ « Barça ou Barsakh », devient un suicide collectif…
Le Témoin
En effet, il nous est revenu que des familles entières organisent discrètement des voyages « particuliers » à bord de leurs propres pirogues, sortes de « yachts » privés, pour tenter de rallier les iles Canaries espagnoles. La preuve par Cayar, Mbour, Thiaroye, où l’on apprend les départs de familles entières regroupant plusieurs membres, y compris des bébés, neveux et petits-fils. Certains sont arrivés sains et saufs sur l’archipel espagnol, d’autres sont portés disparus.
Attention ! « Le Témoin » vous informe qu’en cette période, les conditions météorologiques ne sont plus favorables aux voyages à cause des vagues de froid glacial, des ouragans et des fortes averses qui s’abattent sur l’Atlantique et la Méditerranée. Donc, tout départ « Barça ou Barsakh », devient un suicide collectif…
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