A.T. Niang et sa belle-sœur N. Bousso se regardent désormais en chiens de faïence. A. T. Niang accuse cette dernière de diffamation et d’injures publiques. Selon le plaignant, il vit dans le même domicile que la nommée N. Bousso, laquelle est la femme de son grand frère. Mais, dit-il, depuis trois ans, ils sont confrontés à des divergences. A l’en croire, la mise en cause a pris pour habitude de le provoquer par des propos diffamatoires, rapporte "L'As".
« Notre différend a commencé durant le mois de février 2020. Moment où mon grand frère qui est son mari, s’est déchargé sur moi en ce qui concerne la gestion du loyer de notre domicile familial. Sur ce, la dame Bousso a confisqué une chambre que je lui avais prêtée et qu’elle avait transformée en cuisine. Voulant récupérer ladite chambre, elle est allée se plaindre auprès du commissariat de la Médina mais j’ai obtenu gain de cause. Ce qui l’a poussée à abandonner les locaux », explique A. T. Niang.
Depuis lors, la dame Bousso le traite de dealer et profère des injures à son endroit. C’est dans ces circonstances que le beau-frère a déposé une plainte contre N. Bousso. Le témoin, M. H. Niang a conforté ses dires. D’après lui, la dame Bousso a un différend avec un individu nommé Marcos qui habite dans la maison familiale. « Bousso avait utilisé l’argent que ce dernier épargnait auprès d’elle, à d’autres fins. Après leur altercation, la dame s’est permise d’insulter tous les occupants de la maison. Ne se limitant pas là, elle a invité des nervis à bord de deux véhicules, prêts à en découdre avec Marcos. Elle a ainsi proféré des menaces à l’endroit de ce dernier et des autres membres de notre famille. Par la suite, elle a traité mon jeune frère de trafiquant de chanvre indien. C’est dans ce contexte qu’on lui a suggéré de porter plainte », a-t-il indiqué.
Balayant d’un revers de main ces accusations, N. Bousso a narré une autre version. Selon elle, son différend avec A. T. Niang a été réglé suite à une plainte déposée au commissariat de la Médina par ce dernier. « Depuis lors, j’évite tout contact avec lui dans la maison. Cependant, il s’est permis de porter plainte à nouveau contre moi et sans raison. Je ne l’ai jamais insulté et je ne lui ai pas adressé la parole», s’est-elle dédouanée. Malgré tout, elle a été déférée au parquet.
« Notre différend a commencé durant le mois de février 2020. Moment où mon grand frère qui est son mari, s’est déchargé sur moi en ce qui concerne la gestion du loyer de notre domicile familial. Sur ce, la dame Bousso a confisqué une chambre que je lui avais prêtée et qu’elle avait transformée en cuisine. Voulant récupérer ladite chambre, elle est allée se plaindre auprès du commissariat de la Médina mais j’ai obtenu gain de cause. Ce qui l’a poussée à abandonner les locaux », explique A. T. Niang.
Depuis lors, la dame Bousso le traite de dealer et profère des injures à son endroit. C’est dans ces circonstances que le beau-frère a déposé une plainte contre N. Bousso. Le témoin, M. H. Niang a conforté ses dires. D’après lui, la dame Bousso a un différend avec un individu nommé Marcos qui habite dans la maison familiale. « Bousso avait utilisé l’argent que ce dernier épargnait auprès d’elle, à d’autres fins. Après leur altercation, la dame s’est permise d’insulter tous les occupants de la maison. Ne se limitant pas là, elle a invité des nervis à bord de deux véhicules, prêts à en découdre avec Marcos. Elle a ainsi proféré des menaces à l’endroit de ce dernier et des autres membres de notre famille. Par la suite, elle a traité mon jeune frère de trafiquant de chanvre indien. C’est dans ce contexte qu’on lui a suggéré de porter plainte », a-t-il indiqué.
Balayant d’un revers de main ces accusations, N. Bousso a narré une autre version. Selon elle, son différend avec A. T. Niang a été réglé suite à une plainte déposée au commissariat de la Médina par ce dernier. « Depuis lors, j’évite tout contact avec lui dans la maison. Cependant, il s’est permis de porter plainte à nouveau contre moi et sans raison. Je ne l’ai jamais insulté et je ne lui ai pas adressé la parole», s’est-elle dédouanée. Malgré tout, elle a été déférée au parquet.