La 67e édition du Gamou de feu Serigne Moustapha Ndiéguène, a été l'occasion pour le Khalife du « Dalling koor », de jouer sa partition. "C'est plus qu'une obligation morale pour chaque citoyen de contribuer à l'avènement d'une paix durable. La prospérité du Sénégal que chacun appelle de ses vœux, nécessite la paix, sans laquelle toute entreprise de développement est vouée à l'échec", relève-t-il.
Pour le Khalife de Serigne Moustapha Ndiéguène « Boroom Dalling Koor », c'est une hérésie de croire que les germes de la violence sont à chercher dans le terrain politique. Les réseaux sociaux qui sont la caisse de résonance des diffamateurs, des calomniateurs, peuvent engendrer la violence verbale, laquelle est un terreau fertile à la violence physique. D'où, selon lui, la nécessité que chacun s'érige en bouclier contre la violence.
Selon toujours Serigne Ass Mouhamed, le pouvoir a la grande responsabilité de créer les conditions d'une paix durable au Sénégal. Mais, faudrait-il, encore qu'il fasse preuve de dépassement et de sollicitude dans certains cas, pour l'intérêt supérieur de la nation. Il doit le faire primer sur les considérations politiciennes et nécessite que le pouvoir et l'opposition, explorent les voies et moyens de la création d'un cadre de dialogue de concertation permanente.
Ainsi, il fera remarquer que ceux qui exhortent les guides religieux à parler lorsque le pays est en proie aux crises, qu'ils n'ont jamais cessé de le faire. Seulement, rappelle t-il, à chaque fois qu'ils montent au créneau pour se prononcer sur des questions d'actualité ou d'intérêt général, ils sont sujets à des critiques et à des insultes. D'où, selon lui, la posture de certains guides, d'adopter le silence.
Pour le Khalife de Serigne Moustapha Ndiéguène « Boroom Dalling Koor », c'est une hérésie de croire que les germes de la violence sont à chercher dans le terrain politique. Les réseaux sociaux qui sont la caisse de résonance des diffamateurs, des calomniateurs, peuvent engendrer la violence verbale, laquelle est un terreau fertile à la violence physique. D'où, selon lui, la nécessité que chacun s'érige en bouclier contre la violence.
Selon toujours Serigne Ass Mouhamed, le pouvoir a la grande responsabilité de créer les conditions d'une paix durable au Sénégal. Mais, faudrait-il, encore qu'il fasse preuve de dépassement et de sollicitude dans certains cas, pour l'intérêt supérieur de la nation. Il doit le faire primer sur les considérations politiciennes et nécessite que le pouvoir et l'opposition, explorent les voies et moyens de la création d'un cadre de dialogue de concertation permanente.
Ainsi, il fera remarquer que ceux qui exhortent les guides religieux à parler lorsque le pays est en proie aux crises, qu'ils n'ont jamais cessé de le faire. Seulement, rappelle t-il, à chaque fois qu'ils montent au créneau pour se prononcer sur des questions d'actualité ou d'intérêt général, ils sont sujets à des critiques et à des insultes. D'où, selon lui, la posture de certains guides, d'adopter le silence.