Les seins peuvent gonfler
Lorsque qu’un homme ressent de l’excitation, son sexe se durcit, devient plus gros et pointe vers l’avant. Et bien chez la femme, le même phénomène se produit… au niveau de la poitrine. Le rythme cardiaque et la pression artérielle augmentent, faisant affluer le sang vers les seins, notamment. Les vaisseaux qui s’y cachent se dilatent, augmentant leur volume — parfois jusqu’à 20 % — et faisant rougir la peau. Ils sont alors très sensibles.
Quand vient l’orgasme, tous ces phénomènes sont au maximum de leur intensité. Il faudra alors cinq à dix minutes pour que le tout “dégonfle”. Si le 7e ciel n’a pas été atteint cependant, il faudra plus de temps aux seins pour retrouver leur taille initiale, parfois une demi-heure à une heure. Par ailleurs, naturellement, la poitrine change souvent de mensurations. Pendant les règles par exemple, certaines femmes gagnent jusqu’à une taille de bonnet en plus.
L'orgasme par les seins existe
Les seins font partie de ce qu’on appelle les zones érogènes secondaires, contrairement aux zones érogènes primaires (clitoris et vagin). Leur toucher fait ainsi grimper l'excitation sexuelle, augmente la lubrification vaginale et peut ainsi participer à la montée de l’orgasme. Mais chez certaines même, l’orgasme mammaire existe bel et bien : la stimulation des tétons déclenche alors les mêmes régions du cortex cérébral que celle des zones primaires. Chaque femme a toutefois une sensibilité différente.
Les fortes poitrines sont dans les pays froids
Les femmes en haut du classement seraient les scandinaves (Norvégiennes, Suédoises et Finlandaises) et les russes, avec une taille moyenne supérieure à un bonnet D, selon le site Indy100 de The Independent. Quant aux françaises, d’après les données issues de Target Map, elles auraient en moyenne un bonnet C. Les Chinoises, les Japonaises et les femmes d’Afrique centrale et occidentale possèderaient les plus petites poitrines. Le site a aussi établi une carte de la taille moyenne des pénis dans le monde.
Il existerait 4 types de tétons
- Les tétons dits “normaux”, ce que l’on trouve le plus fréquemment : ils dépassent de l’aréole de quelques millimètres.
- Les tétons dits “plats” : peu proéminents, ils se soulèvent lorsqu’ils sont stimulés ou lorsqu’il fait froid.
- Les tétons dits “bouffis” : ils ont une aréole qui se soulève légèrement.
- Les tétons dits “inversés” : ils ne sortent presque pas et sont au contraire tournés vers l’intérieur. Ils peuvent rendre l'allaitement plus compliqué, car il devient plus difficile pour le bébé de s'en saisir.
- Certaines personnes possèdent même trois tétons : les mamelons supplémentaires, appelés tissus mammaires surnuméraires, sont souvent pris pour des grains de beauté.
Le topless est parfois autorisé
“Cachez ce sein que je ne saurais voir”, écrivait Molière dans le Tartuffe. Plusieurs États américains ne sont pas de cet avis, puisque les femmes y sont autorisées à faire du topless. Seuls l'Utah, le Tennessee et l'Indiana l'interdisent explicitement. Changement d’ambiance en France, où se balader le torse nu peut être considéré comme “de l'exhibition sexuelle imposée à la vue d'autrui dans un lieu accessible aux regards du public”, passible d'amende et d’une peine d'emprisonnement.
Le cancer du sein concerne aussi les hommes
Bien que la maladie soit associée aux femmes, un peu moins d’1 % des cas de cancer du sein touchent des hommes, explique sur son site la Fondation Arc pour la recherche sur le cancer. Il présente les mêmes caractéristiques que celui féminin, à la différence qu'il est souvent plus grave. Et pour cause, il est souvent découvert à un stade avancé, car les hommes se palpent très peu. Le taux de survie est ainsi cinq ans moins bon pour la gent masculine que féminine, avec un risque de métastases plus élevé.
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